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(theodora) café bien mérité
@ Hailey Hawkins
ABSOLAIME (ma chewie d'amour) eternel.love Américaine
café bien mérité
C’était bientôt l’heure, mon regard sur l’horloge de mon café, j’attendais avec impatience l’heure où Théodora passera le pas de la porte. Cela voulait dire que j’allais pouvoir prendre une pause bien méritée, en compagnie d’une personne que j’apprécie énormément ! Cette demoiselle, je l’avais rencontré lors d’un séminaire pour femmes entrepreneuses et jamais je n’aurai pensé me faire des amis dans un tel endroit. Et depuis notre rencontre, on se voyait au moins une fois par semaine et quasiment à chaque fois sur mon lieu de travail. J’ai hésité quelques instants à préparer sa boisson, mais avec la chance que j’aie ces derniers temps, c’était cette fois-ci qu’elle changerait de commande. En attendant son arrivée, je continuais de servir les quelques clients qui se trouvaient dans mon établissement. En pleine journée, l’endroit était plutôt calme, il y avait surtout des habitués ; Quelques grands-mamans qui bavardaient entre elles, un homme d’affaires affairé derrière l’écran de son ordinateur et une petite bande d’amis qui étaient tous mort de rire en regardant l’écran d’un téléphone portable. Si on m’avait dit un jour que je tiendrai mon propre établissement et qu’en plus il aurait du succès auprès de certaines personnes, je ne l’aurais jamais cru ! Il faut dire que je viens de loin, que de base je n’étais qu’une simple serveuse dans ce même établissement. Au moment où je remettais quelques pâtisseries sur des plateaux, la jeune femme que j’attendais avec un brin d’impatience, apparu dans mon champ de vision et un grand sourire se dessina sur mes lèvres. Nous avions peut-être quelques années de différences et pourtant le feeling était tout de suite passé entre nous, comme quoi l’âge n’est qu’un chiffre. « Bonjour toi, tu veux prendre quoi aujourd’hui ? » Je sortais en même temps une tasse de sous le comptoir, prête à lui préparer sa commande, qui bien entendu sera gratuite, comme à chaque fois que nous passions du temps ensemble. Je jetai un petit coup d’œil à mon personnel, pour être bien certaine que ceux-ci n’étaient pas débordés et que je pouvais aller m’asseoir en salle tranquillement. De toute façon, les personnes travaillant ici savaient très bien qu’en cas de besoin elles pouvaient toujours venir me déranger, même pour une question qui pouvait paraître bête. Un doux sourire en leur direction et je pris une seconde tasse pour me préparer mon cappuccino. L’avantage d’avoir son café était certainement le fait que je pouvais boire du café à volonté et que je pouvais également inventer certaines boissons que je pouvais mettre à la vente, ou pas parce que tout n’était pas forcement une réussite. Nos deux boissons en main, nous nous dirigeons vers une petite table libre pour pouvoir discuter de tout et de rien, comme deux filles tout à fait normales. « Et alors, qu’est-ce que tu as de nouveau à me raconter ? »
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Myself (avatar), Redfox (signature) et ma pomme (crackship) .absolaime britannique c’est ce que mes parents m’ont offert le jour où ils m’ont choisie pour devenir leur fille.
« Ma mère voulait savoir à quelle heure nous arrivions ce soir ?»
Mon regard qui ne quittait pas même une ligne d’horizon de plus en plus indistincte alors que je sentais un frisson glacé remonter à mon échine quand, en un geste tendre, il vint poser sa main sur la mienne. Dîner chez ses parents ? J’avais complètement oublié.
« Penses-tu que 19h30 puisse convenir ?
— Ce sera parfait et ainsi nous aurons le temps de passer chez le caviste acheter une bonne bouteille.»
Encore une fois il oubliait que le Kings Arms possédait la meilleure cave du coin et que, oublions pour une fois tout modestie, c’était bien grâce à moi. Après tout l’œnologie était juste ma passion… Mais Liam aimait à décider de tout et je reconnais que je n’avais pas la force ni encore moins l’envie de lutter. Pas aujourd’hui. Plus jamais peut-être bien aussi…
« Je téléphonerai à ta mère pour lui confirmer l’horaire.
— Génial ! Cela lui fera plaisir. Elle se plaint toujours de ne pas t’avoir plus souvent au téléphone.»
C’est sûr que comparé à lui qui l’appelait au minimum cinq fois par jour j’étais très loin de faire le poids. Ce n’est pas comme si je ne savais pas déjà que quoique je fasse, dise ou sois je ne resterai pas à jamais la garce décolorée qui lui aura volé son fils. Parfois… Souvent… Tous le temps ces dernières semaines me venait l’envie subite de le lui laisser son fils si parfait qu’il en devenait ennuyeux. Trop de perfection tue assurément le désir ? Non, bien sûr que non. Mais une rencontre en revanche, oui.
« Je t’aime.»
Trois mots que je pensais toujours si fort bien qu’ils n’aient plus aujourd’hui tout à fait le même sens. J’aimais mon fiancé mais comme l’on a au cœur l’écho de ces amours adolescentes qui nous ont tiré nos premiers soupirs alanguis et fait perler à nos yeux nos premières larmes de coeur brisé. Lui et moi allions commettre la plus belle erreur de notre vie et je suis persuadée qu’en un sens lui aussi le savait. Mais comment faire autrement ? Comment pourrais-je jamais saigner à blanc le cœur de celui qui comptait et compterait toujours tant pour moi ? Je ne le voulais pas. Je ne le pouvais pas. J’étais lâche.
Des mots qu’il me répondit et que je n’écoutais pas même. Un baiser qu’il m’offrît et son jumeau que je lui abandonnais en retour. Puis le soupir de soulagement que je retins de justesse et tandis que je descends avec soulagement de sa voiture. Une seconde que je lui accorde avant de me précipiter à l’intérieur de l’établissement où, immédiatement, je me sens mieux. Le « Sweet Coffee» a toujours cet effet sur moi et je sais que sa propriétaire y est pour beaucoup. Hailey et moi n’étions sans doute pas destinées à nous croiser. L’âge jouant un peu la vie étant responsable pour le reste. Mais pourtant il avait suffi que nous décidâmes l’une et l’autre de prendre nos rêves à bras-le-corps pour que nos routes se croisent et ne cessent, depuis, de le faire. Alors que je l’apercevais capitaine élégante derrière son comptoir je levais la main pour la saluer discrètement.
« Bonjour soleil de nos journées et pourvoyeuse officielle de café pour mon petit cerveau qui t’en est pour toujours reconnaissant.»
Mon addiction à ce si précieux breuvage était connu de tout le monde et il était aussi connu que je ne venais me fournir que chez mon amie.
« Un cappuccino s’il te plaît.»
Un sourire sincère mais un peu fatigué que je lui offris avant de lever mon index en une incitation à patienter. Juste le temps que je plonge la main dans les tréfonds de mon sac à main et n’en extirpe ce carton que je lui tendais en grimaçant malgré moi.
« Avant que je n’oublie. Ton rendez-vous pour les premiers essayages pour ta robe pour le mariage.»
Hailey faisait partie de mon cortège de demoiselles d’honneur. Nous ne nous connaissions pas depuis l’enfance mais je l’adorais et lui proposer m’avait semblé aussi naturel qu’évident. Alors, oui, j’avais pris rendez-vous pour elle chez Dior pour les essayages. Les robes étaient sublimes d’élégance et de raffinement dans les détails. Pourtant je semblais morose.
« Il y a quelqu’un.»
Quelqu’un d’autre. Que mon fiancé. Je gardais cela pour moi depuis trop longtemps il fallait que cela sorte.
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J’étais contente de voir que la société était en train de changer et qu’elle acceptait de plus en plus les femmes entrepreneurs. Il avait fallu du temps, de la sueur mais on y était parvenu et le fait qu’il y a des séminaires le prouvait. Et ce qui était encore plus génial dans tout ça, c’est que grâce à ce genre de rendez-vous, des amitiés arrivaient à naître et nous pouvions nous soutenir mutuellement dans nos projets. Parce qu’être en compagnie d’hommes étaient bien sympathiques mais la plupart du temps ils ne comprenaient rien à nos envies/désirs et c’était dans ces moment-là que nous étions rabaissées. Devenir amie avec Theodora était donc une bénédiction et malgré notre différence d’âge, une belle et vraie amitié était née, ce qui devait en étonné plus d’un, j’en étais certaine ! Mais voilà, en sa compagnie je me sentais libre de dire et de faire ce que bon me semblait et je savais que la jeune femme ne me jugerait jamais. Au pire, elle me dirait le fond de sa pensée et rien que pour ça, j’en la remerciais d’avance. Nous vivions dans une société où on crachait sur les autres par derrière et devant, on se faisait de grands sourires et je détestais ça. Je ne comprenais pas cette façon de faire et j’étais donc la première à dire tout haut quand quelque chose ne me convenait pas et bien souvent cela ne convenait pas aux personnes se trouvant en ma compagnie. En observant la jeune femme qui se trouvait de l’autre côté du comptoir, je la trouvais un peu fatiguée mais finalement il y avait de quoi ! Avoir sa propre entreprise n’était pas de tout repos et en plus de ça, elle devait préparer son mariage et de ce que je savais, ça non plus ce n’était pas quelque chose de simple. Alors un bon café ne pouvait lui faire que du bien. « A vos ordre madame » Je lui fis également un cappuccino et une fois les boissons prêtes, nous nous installions à une table pour être tranquille pour discuter de tout et de rien. A peine nos fesses posées sur les chaises, elle me tendit un carton d’invitation et un doux sourire apparu sur le coin de mes lèvres quand je vis que c’était l’invitation pour les robes de demoiselles d’honneur. Quand Theo me l’avait proposé, j’avais été très étonnée car nous nous connaissions que depuis peu de temps mais j’avais également été flattée. Et puis porter des marques ne m’arrivait pas tous les jours. « T’es adorable ! Tu as déjà quelque chose en tête pour la robe ou on regardera sur place ? » J’avais presque l’air d’une petite fille impatiente, parce qu’en vrai femme, j’adorai faire du shopping et des essayages de mille et une tenues. Et puis grâce au goût très sûre de la future mariée, j’étais certaine d’être bien habillée et surtout de ne pas ressembler à un sac à patates ou un gros bonbon rose comme la plupart des demoiselles d’honneurs que j’avais pu voir d’en d’autres mariages. Au moment où je portai ma tasse à mes lèvres, la jeune femme se trouvant en face de moi lâcha une bombe. Alors là, je ne m’y attendais vraiment pas. Je reposais rapidement la tasse sur la table avant de renverser le liquide brulant, parce que sous le choc j’en aurai été capable. « Quoi ? Mais qui, quand, pourquoi ? » Je venais de poser plusieurs questions en quelques secondes, sans même savoir si elle voulait vraiment en parler. Après tout, elle aurait pu juste vouloir sortir cette phrase pour se soulager et passer autre chose. Mais d’un autre côté, elle savait que je n’allais pas pouvoir m’empêcher de poser quelques questions parce que j’étais curieuse de base et surtout parce que je comprenais pas pourquoi, vu qu’elle paraissait très amoureuse de son fiancé.
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Myself (avatar), Redfox (signature) et ma pomme (crackship) .absolaime britannique c’est ce que mes parents m’ont offert le jour où ils m’ont choisie pour devenir leur fille.
Comme dans un vieux film j’entendis derrière mois le grelot de la porte d’entrée tinter. Des rires suivis de mots murmurés avec une voix basse et sur un ton si feutré qu’avant même que les coupables n’entrent dans mon champs de vision je les savais amoureux. Je n’étais pas de nature ni d’éducation impolie mais je regardais le couple avec une tendresse fanée et une pointe de cette jalousie qui ne fit jamais que me piquer un peu plus le cœur, ajouter un peu plus encore à ma tristesse. Ils étaient heureux. Aussi heureux que Liam et moi pouvions l’être. Pouvions l’être avant. Avant que ma moto ne décide faire de moi une menteuse et une tricheuse. Avant que le destin ne s’emmêle les pinceaux et ne décide de jouer avec nos cœurs.
« Tu te souviens quand je t’avais parlé de mon accident de moto en sortant du boulot ? Il y a déjà quelques mois ?»
Ça, c’était pour le quand. Et ce fut en l’énonçant que je réalisais que cela faisait bien du temps, bien des semaines que mon couple si parfait était en réalité à la dérive. Et je voyais l’iceberg du Titanic se profiler à l’horizon… Contrairement au capitaine je pouvais encore éviter le pire mais…
« Ce n’était pas…»
Un soupir qui s’échappait de mes lèvres alors que je repoussais doucement ma tasse pour venir poser ma tête sur le plateau de la table deux secondes. Comme si elle avait été trop lourde, encombrée de toutes ces choses qui ne me ressemblaient pas et me rongeaient l’âme.
« Ce n’était pas prévu. Ni de son côté ni du mien. Nous ne voulions pas cela.»
Et c’était vrai. La première fois n’avait jamais été que la résultante d’une conversation menée tambours battants et d’une complicité qui sous la lune et les étoiles s’étaient achevée dans un baiser. La suite… La suite nous avait échappée et s’était écrite au rythme de nos soupirs et de nos jouissances.
« J’aimerais pouvoir dire que ce n’était qu’une atroce erreur qui ne se reproduira pas. Que lui et moi savons que cela est mal et que nous refusons de faire mal à nos conjoints mais…»
Mes joues qui se teintaient des couleurs de la honte mais aussi du délice des plaisirs coupables alors que je tremblais de m’entendre confesser si facilement
« Mais je ne veux surtout pas renoncer à ces instants où je me sens réellement vivante. Avec Jude je suis … moi. Pleinement et totalement moi. Je veux continuer à éprouver cela.»
Ma tête qui se relevait alors que je souris d’ enfin avouer à mon amie comme à moi-même l’évidence même.
« Je suis amoureuse de Jude.»
Ça c’était pour le comment. Ne demeurait plus que le qui pourtant à moitié déjà révélé. Une seconde que je demandais d’un regard à Hailey et ma carcasse que je dépliais pour mieux m’en aller rechercher le journal du matin. Les pages que je feuilletais jusqu’à arriver à celles des divertissements et la tendresse qui s’invitait à mes yeux alors que je montrais la photo à la désormais gardienne de mon secret
« Jude Darcy.»
L’acteur oscarisé. Marié. Père d’une fille à peine plus jeune que moi. Le dernier homme à qui j’aurais du m’intéresser mais bel et bien le premier à mon coeur. Et la réaction, presque puérile et qui m’aurait franchement faite rire dans la bouche d’un autre.
« Ma mère va me tuer…»
C’était un euphémisme et elle risquait fort de ne pas être la seule. Mais clairement ce fut à elle que je pensais en premier. Puis ramenant ma tasse de café jusqu’à moi et prenant le temps d’en déguster une gorgée je changeais sans préambule de conversation
« J’ai vu Alba l’autre jour. Elle est sublime.»
Ce qui était vrai. Mais il fallait bien admettre que le patrimoine génétique était généreux et avantageux aussi bien du côté d’Hailey que de Manuel. Je n’avais jamais compris comment deux êtres aussi parfaits et à l’évidence semblant être destinés l’un à l’autre avaient pu se quitter. Marrant ou pas mais aujourd’hui je comprenais que l’amour ne fait pas toujours tout. Et que cesser d’aimer fait souvent aussi mal si ce n’est même plus que d’aimer.
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Heureusement que j'avais des employés au top et que je pouvais prendre des pauses plus ou moins longues seule ou en bonne compagnie comme maintenant. Et puis, ils savaient tous quand qu'à de coup de feu ou de questions, ils pouvaient venir me déranger. J'étais peut-être la gérante du petit café mais je n'étais pas un tyran. Etre serveuse était mon premier métier et j'étais donc la mieux placer pour savoir que ce n'était pas un métier de tout repos, surtout quand les clients ne mettaient pas du leur. Pendant que nous entamions les premières gorgées de nos cafés respectifs, j'écoutais Theodora, que je n'avais pas vu depuis un moment et sa déclaration me fit stopper mon geste. Je déposai mon regard sur la jeune femme, ainsi que toute mon attention pour être bien certaine de tout comprendre. Elle venait de me donner un rendez-vous pour aller essayer une robe pour son mariage et là, elle est en train de m'avouer tout autre chose. Soit je me faisais très vieille et je ne comprenais plus le sens du mot mariage et amour, soit mon amie était totalement perdue. Je reposai ma tasse fumante avant de la renverser sous l'émotion et aussi parce que j'étais très maladroite, tout en écoutant attentivement la personne assise en face de moi. Un prénom et un nom atterrit bien vite dans mon cerveau et celui-ci se mit rapidement en marche pour assimiler toutes ces informations. Le nom de ce jeune homme me disait vaguement quelque chose, mais s'il n'était pas un client régulier du café, il y avait peu d'espoir que je réussisse à mettre un visage sur ce pseudonyme et je n'étais pas assez douée pour aller chercher sur internet, comme le font tous ces jeunes. Ma bouche s'entrouvrit mais se referma tout autant vite avant qu'un son n'en sorte. De tout façon là tout de suite je ne savais pas quoi dire. J'étais abasourdie par cette révélation et au vu de la tête de la jeune femme, je devais être la seule au courant de cette délicate situation. Mon pauvre cerveau tournait à mille à l'heure pour essayer de dire quelque chose de cohérent mais rien ne me venait. Lui remonter les bretelles n'allait servir à rien, je voyais bien qu'elle était morte de honte et qu'elle était dans une impasse. Je pouvais tenter de lui donner des conseils mais lesquels ? Et puis je n'étais peut-être pas la mieux placer pour parler d'amour. Célibataire depuis des années, je n'étais plus sûr de savoir ce que c'était d'aimer. Je déposai quelques instants mon regard sur la table que nous partagions pour tout assimiler. Elle c'était mise dans une belle galère et elle le savait parfaitement. Maintenant il restait juste à trouver une ou plusieurs solutions. Un petit silence c'était installé entre nous mais Theodora le brisa bien vite pour changer de sujet. Je relevai bien vite un léger sourire sur les lèvres. « Merci mais tu ne vas pas réussir à changer de sujet si vite mademoiselle. » Je déposai mon regard dans le sien « Alors là oui, elle va te tuer, je ne peux pas dire le contraire. Mais il faut que tu prennes la bonne décision et tu le sais. Il faut que tu réfléchisses à tout avant le jour de ton mariage. Tu ne vas quand même pas garder un tel secret toute ta vie ?! Si ? Et puis tu te dis amoureuse de ce fameux jeune homme mais... Peut-être est-ce que c'est tout simplement un petit coup de coeur et le fait que tu stresses et que tout le monde te mette la pression pour le mariage, tout est mélangé dans ta petite tête. » J'avançais légèrement ma main pour prendre la sienne, un doux sourire sur le coin des lèvres. « C'est peut-être bête ce que je vais te dire mais... Qu'est-ce que te dicte ton coeur ? Jude ou Liam ? »
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