OXFORD MY LIFE
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Tear in My Heart (Ft. Onora)

@ Côme Hendricks

Côme Hendricks
NEWBIE SUR OML
9 14/05/2023

37 uc spera/sarah célibataire
#
Dim 21 Mai 2023 - 18:37

˜ ˜ ˜
{  Il ne faut jamais oublier une personne qu’on a aimée.  ”
feat  Hatchi }
crédit/ bricole + (c) gif cherrylbombhell feat. @Onóra Barnes

Ta soeur avait décidé de squatter une chambre de ton appartement depuis quelques semaines après une énième dispute avec votre grand-mère, pourtant Ezra avait complètement l’âge de se trouver un appartement et vivre seule pour prendre son indépendance, mais elle y refuse catégoriquement ne voulant pas laisser mamie seule. Pourtant, c’est dans l’une de tes pièces qu’elle squatte actuellement : en laissant mamie seule et contrarié de ne pas avoir des nouvelles d’Ezra, hormis venant de ma part pour faire mon boulot de petit fils modèle. Un calvaire de vouloir réconcilier les deux surtout en sachant qu’elles sont autant têtues l’une que l’autre.

Tu avais accepté de l'héberger en échange qu’elle cuisine parce que tu avais clairement la flemme d’être derrière les fourneaux, tu sais faire à manger, mais tu n’as pas l’envie. Pourtant, tu avais décidé d’épater ta cadette par tes talents cachés en ayant préparé une belle table pour passer une bonne soirée. C’était assez sympa le film qu’elle avait choisis, mais tu t’es endormi au beau milieu du film dans le canapé en ronflant comme un porc.

Le jour se lève tranquillement sous tes iris sombres, tu n'as pas dormis la nuit suite à tes demandes de mission. Tu as dû enchaîner quelques heures tout au plus avant de te décider quelques missions acceptées, Onora Barnes… Un prénom bien trop familier à tes yeux pour croire à une simple coïncidence de même identité. Est-ce réellement elle ou une personne toute étranger à ta vie ? Tu n’en sais rien pour tout avouer, tu espères que ce soit elle au fond de toi, tu ne peux le nier, Côme. Tu avais tant partagé en sa compagnie, des rires, des pleurs, des adieux douloureux et une séparation qui te reste à travers la gorge pour des raisons que tu ne peux que comprendre.

Pourtant, tu espères que ce soit elle, mais dans un autre sens… tu sais qu’elle est en couple vu la demande de ce type un peu barjo à tes yeux.
Pourquoi est-elle avec ce genre de personne qui demande à ce qu’elle soit suivie par un étranger et devoir rapporter tous les faits et gestes ?
Onora n’était pas du genre à se laisser faire, tu doutes.

tu avais fini ta nuit pour être en forme pour le reste de la journée avant d’aller directement sous la douche et te préparer en une demie heure. Tu prends rapidement la route en saluant d’une main ta sœur qui se goinfre devant sa série sur Netflix, une série bancale comme elle. ça t’enlève un léger rictus sur ton doux visage en prenant la route pour l’adresse indiquée sur l’un des messages reçus de ce type. Tu avais de drôles de demandes que tu refuses la plupart du temps étant contre tes principes et valeurs, mais celle-ci est très courante que tu finis par accepter.

Puis, tu ne peux te permettre de refuser toutes les demandes pour éviter de perdre ton salaire ou même ton métier à force. Après une bonne quarantaine de minutes de route, tu t’arrêtes devant l’appartement en arrêtant le contact en sortant de la voiture en te plaçant du côté passager pour prendre appuie en sortant une cigarette de ta poche et tu l’allumes en prenant une taff en croisant les jambes.

Tu patientes simplement, tu avais pour ordre de commencer ta mission à cet endroit.
Elle ne devrait pas tarder à arriver.
Est-elle au moins au courant qu’elle aura le droit à avoir son carrosse rien que pour elle ?
Tu fumes simplement ta clope en attendant sagement, rien de plus et rien de moins.
De toute façon, ce n’est pas Onora que tu connais, n’est-ce pas ?

Bordel.
C’est elle.
Clairement elle !
Pourquoi est-ce elle ?

Depuis quand est-elle à Oxford et pourquoi ne m'a-t-elle rien envoyé ?
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Onóra Barnes aime ce message

@ Onóra Barnes

Onóra Barnes
CITOYENS D'OXFORD
20 15/05/2023

carolcorps (avatar) Sholarimas. américaine
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Mar 6 Juin 2023 - 20:16


Fin mai 2023, début d'après-midi, quartier jericho

La porte du casier se claque avec virulence alors que je me rends compte que certains regards se tournent aussitôt vers moi. Je relève les yeux timidement et sourit doucement avant de relire le sms que je viens de recevoir de mon compagnon. Ce n’est pas vrai, je n’en crois pas mes yeux, il a vraiment engagé quelqu’un pour me protéger mais me protéger que quoi au juste… Lui et moi savons bien que tout cela est n’est qu’une vaste fumisterie pour faire croire que nous sommes un couple heureux et apaisé alors qu’il n’en n’ai rien. Comme à mon habitude, je prends mes affaires et rentre sans même me changer. Non pas que j’adore rester avec mes vêtements sales mais c’est surtout que je n’aime pas me déshabiller dans les vestiaires en même temps que mes collègues. L’on pourrait voir mes marques et mes cicatrices et l’on commencerait alors à me poser des questions. Rien de pire pour une mauvaise pub et attirer l’attention sur soi, fait que je déteste à présent. Je préfère être la gentille infirmière timide qui fait correctement son travail plutôt que la femme pathétique qui n’a pas su dire stop aux coups portés par son compagnon. Dire que nous ne sommes même pas mariés. ‘Tu pourrais partir tout simplement…’ ‘Pourquoi tu ne le quittes pas et tu ne refais pas ta vie sans lui’ … Etc. ce sont des paroles que j’ai déjà entendu et qui ont été dites sans savoir, sans comprendre. Aujourd’hui à Oxford, personne n’est au courant et dans le fond c’est mieux ainsi, les gens n’arrivent pas à comprendre. Comprendre que j’ai profondément aimé cet homme, même si je n’ai jamais oublié mon amour de jeunesse, comprendre que j’ai été séduite et aveuglée et que maintenant il a totalement pris le contrôle de ma vie. Je n’ai plus rien qui m’appartient. Ma voiture n’est pas la mienne, l’appartement n’est pas le mien, même mes vêtements ne sont pas choisis par moi, même ma paie de mon travail va sur son compte à lui. Il a un total contrôle de mon existence et je suis totalement prisonnière de cette relation qui me rend heureuse puisque je n’ai que cela. Je l’aime, ou du moins je me persuade que je l’aime, j’ai l’impression d’être heureuse, ou du moins je devrais surement l’être parce que je ne manque de rien. Ingrate, moins que rien, mal fichue, ce sont les termes qu’il emploie pour moi dès lors que je reviens du médecin sans être enceinte ou alors dès que j’émets l’idée d’avoir plus de libertés et après les mots comme d’habitude viennent les coups.

Dernièrement, il a voulu me coller sur le dos, un garde du corps, pour me protéger soi-disant mais je sais parfaitement que comme c’est lui qui l’embauche, il aura un rapport détaillé à faire sur mes agissements, mes fréquentations et mes paroles. Je sais que ce n’est pas un protecteur que j’aurais mais un toutou. Je reprends le chemin de l’appartement en étant contrariée, mais en même temps, résignée. Qu’est-ce que je peux dire, qu’est-ce que je peux faire… absolument rien, hormis obéir, me taire et espérer qu’il ne soit pas trop rancunier la prochaine fois qu’il aura passé une mauvaise journée. Arrivant en bas de mon immeuble après plusieurs minutes de marches, je ne relève les yeux qu’en arrivant devant la voiture qu’il m’a attribué. Je me fige sur place aussitôt. Mon souffle se coupe et je manque de m’étouffer en croisant le regard de cet homme, son regard… Je m’arrête net et reste silencieuse, qu’est-ce qu’il fait là ? Je manque d’air face à lui qui m’a toujours plu. D’aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours aimé cet homme, son mauvais caractère, son impulsivité, sa douceur, son côté gros nounours, lui tout simplement. Avant que je ne puisse parler et lui non plus, mon compagnon nous rejoint à l’extérieur, lui sort du bâtiment et je baisse aussitôt les yeux pour observer le sol :

« Je vois que tu as rencontré ton garde du corps…. Côme Hendricks, voici votre nouvelle protégée, Onóra Barnes, ma future épouse. »

Bordel mais pourquoi il dit cela alors qu’il refuse de m’épouser. Pourtant il ne faut absolument pas qu’il sache que je connais Côme… Aussitôt je relève la tête pour croiser son regard et lui tendre la main tout en me le saluant :

« Ravie de faire votre connaissance monsieur Hendricks… et merci d’avoir accepté de travailler pour mon compagnon. »

Ma voix est timide comme souvent dernièrement, je ne suis pas la femme joyeuse et expansive qu’il a connu et je pense qu’il s’en rendra rapidement compte, lui qui me connaît si bien. Pourtant le contact de sa main contre la mienne est un terrible réconfort à ma situation actuelle. Une fois la poignée de main terminée, parce qu’elle ne doit pas durer trop longtemps, je recule d’un pas pour me replacer comme ma position de parfaite petite amie l’exige et je me tourne vers mon compagnon :

« Pourquoi ne pas l’avoir inviter à entrer ? »
« Parce que tu vas devoir aller te trouver une tenue pour un diner d’affaire demain soir… »
« J’ai déjà pleins de tenues… »
« Non il te faut des manches longues. »

J’acquiesce en silence. En effet, il a raison sur ce point. Je hoche la tête avant de reprendre :

« Je vais tout de même prendre le temps de me changer avant d’y aller. »
« Si tu veux… Je dois y aller, j’ai une autre affaire qui m’attend. A ce soir. Monsieur Hendricks, je compte sur vous. »

Il m’embrasse sur la joue, comme une obligation pour lui, avant de disparaitre dans sa voiture garée juste devant la mienne et je me retrouve alors face à cet homme qui a tant d’effet sur moi, cet homme qui fait battre mon cœur à tout rompre. Nous sommes tous les deux désormais, je me racle la gorge et hoche la tête en direction de l’immeuble :

« Si cela ne t’embête pas j’aimerais me changer… avant que l’on parte… »

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Mylena Gonzales aime ce message

@ Côme Hendricks

Côme Hendricks
NEWBIE SUR OML
9 14/05/2023

37 uc spera/sarah célibataire
#
Jeu 29 Juin 2023 - 20:34

˜ ˜ ˜
{  Il ne faut jamais oublier une personne qu’on a aimée.  ”
feat  Hatchi }
crédit/ bricole + (c) gif cherrylbombhell feat. @Onóra Barnes

Tu restes immobile en regardant le couple avancer tranquillement de façon assez proche, mais très distant. C'était assez bizarre leur façon de se comporter même de loin, tu ne dis rien. Ce n'était véritablement pas ton souci, tu n'avais pas le temps pour t'occuper d'un couple étranger à tes yeux. Fumant ta cigarette tranquillement, tu t'aperçois de plus en plus que c'est une silhouette familière et tu plissée les yeux en voyant que c'est Onora de ton passé. Tu te pinces les lèvres avant de les voir en face de toi et tu penches légèrement le visage sur le côté.

Tiens donc, elle agit comme si vous étiez des étrangers. Tu n'étais pas un gamin de toute façon, mais tu as un pincement au coeur.
— Enchanté !
Nouvelle protégée ? Tu parles. Futur épouse ? Tu rates un battement de cœur bien que tu sens qu'il y a quelque chose qui cloche dans leur comportement, tu étais assez analyste.
— Je n'ai pas eu le choix au vu de son insistance, disons… je ne le regrette pas.
Tu hausses simplement les épaules suite à tes paroles avant de te redresser en jetant ta clope à terre quand tu la finis.
— Pas de problème !
Tu lognes son petit ami quitter l'allée en voiture avant de porter ton attention a la blonde en face de toi ayant perdu toute confiance en elle, en chemin. Tu ne dis rien pourtant de peur de la brusquer.
— Pas de souci, je te laisse y aller. Je t'attends dans la voiture.

Dans un mot, tu grimpes côté conducteur en mettant ton GPS sur le centre ville pour ne pas te perdre sur la route et patiente qu'elle revienne après s'être changée. Tu n'arrives pas du tout à comprendre et ne souhaites pas comprendre, mais cela te blesse de la voir ainsi.  

Tu ouvres la fenêtre avant d'entendre la porte s'ouvrir sur la demoiselle, tu souris légèrement avant d'allumer le contact. Tu la zieutes durant quelques minutes pour la reluquer, toujours aussi belle et resplendissante.
— Tu t'es mise à l'aise pour ton après midi shopping, Onora.
Tu ne savais quoi lui dire sans faire de gaffe, tu ne voulais pas qu'elle se braque, mais tu voulais finalement comprendre.
— Le monde est petit, en tout cas… Je n'avais pas prévu te revoir dans ses circonstances. Je ne savais pas que tu étais revenu à Oxford.
Un regard en coin avant de démarrer pour prendre la route vers le centre ville, elle doit avoir des goûts de luxe au vu de la carrure de son mec. Tu savais où la ramener pour qu'elle se trouve sa robe à longues manches, bien qu'elle n'a rien à cacher.
— Tu comptes faire semblant de ne pas me connaître devant lui, longtemps ?
Oui, c'était blessant pour toi sa réaction, mais tu penses avoir compris le numéro de son petit ami.

Tu te sens chanceux de tomber sur la demoiselle après quelques mois du décès de ta femme. Pourtant, elle n'y était pour rien ni toi.
Onora était la première femme que tu aurais marié si elle serait resté auprès de toi, à Oxford.
— Tu sais déjà ce que tu souhaites en type de robe ?
Pour t'éviter de faire des magasins pour rien, tu n'étais pas trop patient pour les magasins, pourtant tu aimerais que le temps se fige sur ce moment à côté de la belle demoiselle qui t'accompagne.
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@ Onóra Barnes

Onóra Barnes
CITOYENS D'OXFORD
20 15/05/2023

carolcorps (avatar) Sholarimas. américaine
#
Sam 15 Juil 2023 - 23:08


Fin mai 2023, début d'après-midi, quartier jericho

Maintenant que l’homme qui se présente comme mon futur époux est parti, je me sens un peu plus à l’aise même si en vérité, je me sens mal d’avoir fait semblant de ne pas connaître Côme. En même temps, si j’avais été familière avec lui, il l’aurait viré sur le champ et je sais que Côme doit être très convenablement payé pour ce travail. D’autant plus qu’une part de moi se sent soulagée que cela soit lui et pas un parfait inconnu.

Lorsque je lui demande si cela ne le dérange que j’aille me changer il ne dire rien et précise qu’il m’attend dans la voiture. J’acquiesce d’un hochement de tête avant de m’engouffrer dans l’immeuble. Je ne veux pas prendre trop de temps et passer pour une chieuse mais je ne pouvais décemment pas rester dans ma tenue de travail pour aller faire les boutiques. Arrivant à la hâte dans l’appartement, je file dans le dressing et retire toutes mes affaires, toutes… Pour les mettre dans le panier de linge sale. Je me place ensuite devant mon armoire et enfile des sous-vêtements propres, des collants fins mais opaques pour ne pas que l’on puisse voir les bleus sur mes jambes, ainsi qu’une jupe droite et un chemisier simple à manches longues. Je n’ai clairement pas envie que Côme voit mes marques mais je me dois d’être à l’aise et apprêtée pour faire les boutiques, même si je sais déjà où je voudrais aller. Une fois habillée, je repasse très rapidement par la case salle de bain pour remettre un coup de parfum, de déodorant et me brosser les cheveux pour les laisser tomber en cascade sur mes épaules.

Je ne tarde pas à revenir à la voiture et à monter côté passager à l’avant, à côté de lui. Il m’adresse aussitôt la parole tandis que je ne parviens qu’à aligner que quelques mots avec une profonde hésitation :

« Euh… oui, je ne me voyais pas rester en tenue d’infirmière… »

Je baisse aussitôt la tête lorsqu’il me dit que le monde est petit. Je culpabilise aussitôt de ne pas l’avoir prévenu mais en même temps comment dire à son ex que l’on est de retour mais accompagné d’un homme violent.

« Je… Je suis désolée, j’aurais dû te le dire mais tout s’est fait assez vite… et puis j’ai été prise dans mes deux emplois ça m’a pris beaucoup de temps. »

Semi-vérité, semi-mensonge. Je me rends compte que je suis presque devenue bonne dans l’art du mensonge. Triste vérité qui me peine plus que cela me réconforte. Je ne relève les yeux vers Côme que lorsqu’il met les pieds dans le plat. En même temps j’aurais dû me douter que le sujet serait mis sur le tapis mais pas aussi rapidement :

« Je suis vraiment désolée Côme mais s’il avait su ou même compris que l’on se connaissait, il t’aurait viré sur le champ. Je n’aimais pas l’idée d’avoir un garde du corps parce que… ce n’est pas utile mais je préfère mille fois que cela soit toi plutôt qu’un petit toutou qui lui rapportera tous mes faits et gestes… »

Je reporte mon regard sur la route en ajoutant la suite :

« Parce que oui, t’es pas seulement là pour me protéger mais aussi pour me fliquer et lui rendre des comptes… »

Je suis à moitié frustrée de l’admettre mais je suis prisonnière de cette relation toxique et même si la situation me dérange et m’agace, je ne me vois pas changer pour l’instant. Je n’ai pas possibilité de faire quoi que ce soit… Je n’ajoute rien de plus et me contente de regarder par la fenêtre jusqu’à ce qu’il me demande ce que je souhaite comme robe. Je tourne le visage vers lui, légèrement surprise que cela l’intéresse :

« Une robe longue avec des manches longues. Que l’on voit mon corps le moins possible… »

Non pas que je n’aime pas mon corps mais je me dois de le cacher pour cacher toutes les marques qu’il contient désormais. Je songe alors à ce que Côme peut avoir comme souvenir de mon corps mais ce dernier est bien différent désormais. Je remarque que nous arrivons dans le centre-ville et comme je sais déjà où aller je pointe du doigt la direction que je souhaite :

« Prends à droite, il y a la boutique que je veux. Et je sais que je trouverais là-bas, comme ça cela ne sera pas long. »

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