OXFORD MY LIFE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Display japonaise One Piece Card Game OP-09 The Four ...
Voir le deal

La poupée qui fait toujours non feat. Genesis

@ Andreas Wallander

Andreas Wallander
NEWBIE SUR OML
2 10/07/2023

absolaime UC
#
Mer 19 Juil 2023 - 18:18


together we are stronger
feat.   @Genesis Haller   

Andreas était exaspéré de ces journées qui n’en finissaient plus. Les longues heures de travail ne l’avaient jamais découragé, bien au contraire, mais il y avait des jours où il s’en serait presque arraché les cheveux. Comme par exemple quand il se retrouvait à devoir retrouver une témoin qui avait décidé de se faire la belle avant même de témoigner et évidemment, c’était sur lui que c’était tombé. Un soupir avait franchi ses lèvres à peine était-il arrivé en Angleterre. Mais il n’avait pas vraiment de temps à perdre. Il lui fallait retrouver la jeune femme avant n’importe qui d’autre et surtout avant les potentiels hommes de main envoyés par l’homme contre qui elle devait témoigner.

Retrouver la trace de Genesis n’avait pas été une mince affaire. Évidemment, sinon il n’aurait pas eu besoin d’être là. Il lui avait fallu autant de détermination que de café et clairement, très peu d’heures de sommeil. Maintenant, il lui fallait encore réussir à approcher la jeune femme sans l’effrayer et bon sang, il était prêt à se menotter à elle jusqu’au procès si cela pouvait éviter de devoir recommencer une cavale de la sorte. Il avait mieux à faire que ce genre de course contre la montre.

Andreas avait donc retrouvé Genesis alors que la jeune femme s’était trouvé une table discrète. Le suédois n’était pas certain que ce soit une bonne chose même si c’était vrai que ça l’arrangeait. Il avait néanmoins méticuleusement observé les lieux avant de décider de la manière dont il allait avancer ses pions. Il voulait avant toute chose éviter les esclandres. Ne pas attirer trop d’attention sur eux… Et surtout sur la jeune femme. Tant que plus ou moins personne d’autre que lui ne savait qu’elle était là… Mieux valait que cela reste ainsi. Après avoir repéré la plupart – toutes espérait-il – des sorties possibles, il s’était avancé vers la jeune femme. Il avait été chanceux : elle ne s’était pas rendu compte de sa présence avant qu’il ne s’installe devant elle.

« Miss Haller. »

Il avait de justesse retenu un soupir agacé, même si cela devait se deviner à sa posture un peu… rigide devrait-on dire.

« Ecoutez, je sais que vous n’avez aucune envie de me voir ni même de me laisser parler. »

Il était lucide après tout.

« Votre situation n’est pas facile, c’est une chose que j’entends parfaitement. Mais vous vous mettez en danger en agissant comme cela. »

Il détestait avoir l’air d’un père en train de gronder son enfant, malheureusement, la situation en était relativement proche. Forcément, il s’inquiétait de pouvoir mener à bien l’enquête et de voir le tueur être envoyé derrière les barreaux. Mais il s’inquiétait aussi du bien-être de la jeune femme. Il détestait devoir jouer les baby-sitter… Mais il détestait encore plus lorsque c’était pour constater le décès d’un témoin dans des circonstances trouble qu’il devait intervenir.

« Et si on passait un accord, d’ici le procès, vous et moi ? Une trêve, plus de fugue ni quoi que ce soit du genre et un semblant de vie normale ? »

Un léger soupire qui finissait par franchir la frontière de ses lèvres.

« Je n’aime pas ça plus que vous, mais s’il faut que je vous fasse enfermer pour votre sécurité, je n’hésiterai pas une seconde. »

Il était plus que sérieux.

« C’est peut-être notre meilleure chance de l’envoyer derrière les verrous. »

Et il détesterait que cela soit gâché pour des gamineries. Mais il n’aurait pas le moindre remords à agir ainsi, quitte à se faire tancer par sa hiérarchie. Il avait le cuir et la tête dure.
me contacter

@ Genesis Haller

Genesis Haller
ADMIN — LA FOUINE EN MALABAR
33 06/07/2023

Self américaine
#
Mer 19 Juil 2023 - 18:20


together we are stronger
feat.   @Andreas Wallander   

Une semaine plus tôt à Stockholm,

Dans le couloir elle entendait les voix étouffés des agents. La première, athlétique et à la mine sympathique était en réalité une teigne jamais heureuse de rien et toujours a pester sur tout et plus encore sur tout le monde. Rien que pendant la dernière heure - la plus longue de la vie de Genesis- cette femme avait trouvé le moyen de critiquer l’ensemble du gouvernement suédois, la communauté européenne sur laquelle elle crachait avec un plaisir un tantinet dérangeant, ses parents qui évidemment ne la comprenaient pas et même sur son ex compagnon qui n’avait rien trouvé de mieux que de la plaquer par texto parce que, selon les propres mots du goujat elle aurait fait peur au diable lui-même. Comment cette femme parvenait elle à aligner autant de mots sans jamais reprendre son souffle était un mystère que la jeune coursière ne s’expliquait toujours pas. Un doigt qu’elle levait comme pour mieux tenter d’en placer une mais déjà la pie reprenait. Cette sur l’ancien président français. Hein ? Celui qui était allé chercher des croissants à sa maîtresse sur un scooter et un casque rose grotesque sur sa tête. Elle a fumé ou c’est moi qui suis encore perchée ? Et encore une phrase ubuesque sur le si mauvais exemple que ce petit homme tout rond avait donné au monde en plaquant son officielle par texto ! Mais c’est que ses propos auraient presque un sens en réalité ?! . La toute petite poupée aurait même pu en rire si cela n’avait pas été aussi épuisant qu’inutile. Heureusement, ou pas, le géant blond aux yeux bleus était venu prendre la relève. Elle l’aimait bien l’iceberg trop poli. Sa collègue parlait trop lui pas assez. Si ces deux là cédaient un jour à l’appel de la nature et se reproduisaient leur progéniture serait assurément une pie glacée ce qui, la petite brune en gloussa, aurait été soit très rigolo soit parfaitement pathétique.

«  Bonsoir agent Wallander. »


Des mots polis qu’elle lui lança alors qu’elle passait sa tête par l’entre bâillement et interrompait la transmission entre les deux collègues. Le temps que la pie lui ait raconté tous ses déboires et que son remplaçant n’ait de son côté fait le point sur une situation que nul ne maîtrisait… La veille on lui avait signifié qu’elle avait interdiction d’écouter les nouvelles. Sans doute pour qu’elle ne découvre pas que l’agente supposée jouer la chèvre dans son appartement avait été retrouvée la tête plongée dans sa baignoire… et le reste de son corps disséminé aux quatre coins des pièces comme autant de cadeaux macabres ? Autant d’avertissements oui ! Alors qu’elle attendait dans le salon, pelotonnée dans son fauteuil elle avait sorti son téléphone. Celui dont seuls les agents d’Interpol chargés de sa protection étaient supposés posséder le numéro. Apparemment il y avait une nouille, voir une couille, dans le potage car l’homme contre lequel elle devait témoigner lui avait envoyé une série de clichés de sa dernière œuvre. Avant même que les autorités ne découvrent le corps en mode puzzle de leur agente. Au début elle avait réellement et sincèrement songé à en parler à ses anges gardiens. Mais les b billages incessants de la première et le côté tantôt hermétique tantôt disque rayé de la justice avaient fini par avoir raison de ses, pour une fois bonnes,  résolutions.

Voilà pourquoi elle avait fait la seule chose qui lui avait paru logique : elle s’était enfuie. Profitant du fait que le géant soit en train de leur préparer un thé elle avait subtilisé ses menottes. Et à la faveur d’une maladresse feinte de sa part elle avait attaché le blondinet au rail du bar américain séparant le salon de la cuisine. Un radiateur c’est plus simple mais aussi plus facile à exploser. Là il continuait encore de se débattre pour mieux se libérer qu’elle était déjà deux blocks plus loin. Elle s’en était voulue. Un peu. Elle n’avait rien contre l’homme mais elle ne lui faisait pas confiance pour parvenir à la protéger d’un tueur si doué qu’il sévissait encore ! Elle était désolée, vraiment, mais elle ne finirait pas comme cette pauvre fille. Puis, une fois l’accusé de réception reçu, elle avait éteint son téléphone. Ôté la puce. Jeté le premier dans le fleuve, la seconde sous le premier camion qui passa à proximité. Un regard vers l’horizon. Le soleil se levait sur Stockholm baignant de sa clarté encore faible les paysages qui avaient bercé son enfance. Ceux qu’elle ne reverrait sûrement plus jamais.

Son faux passeport en poche elle avait relevé le col de son trench et inspire un bon coup. Direction l’aéroport. Direction une nouvelle vie.

~***~


Aujourd’hui à Oxford,

Une surprise, mauvaise, alors que le géant blond apparaissait devant elle et prenait place à sa table. Genesis avait réprimé de justesse un soupir d’agacement mais le regard qu’elle lui lança en témoignait déjà bien assez. L’homme avait les traits plus tirés que la peau d’un pauvre écureuil chez un taxidermiste. Son teint, déjà pâle à l’état naturel semblait en cet instant cireux. Pas assez d’heures de sommeil à son compteur apparemment. Quelle surprise… Tout comme l’homme qui venait presque de prononcer en trois phrases plus de mots qu’il ne lui en avait adressés en trois mois de « vie commune », Genesis avait repéré les lieux. Mais, elle, l’avait fait plus tôt. Et sans avoir de pression sur ses épaules. Lui semblait nerveux. Et un brin en colère. Là, elle pouvait difficilement lui en vouloir il était vrai. Se frappant le front elle avait plongé sa main dans les tréfonds de la poche intérieure de son cuir et en avait extirpé une clé. Petite et légèrement tordue. La posant sur la table et la poussant vers lui elle sur qu’il la reconnaîtrait immédiatement : celle des menottes. La jeune femme avait trouvé amusant de la conserver.  

«  Auriez vous oublié la règle numéro une ? Je ne parle jamais le ventre vide.
une carte qu’elle se penchait pour récupérer sur la table d’à côté er qu’elle lui tendit   Faites votre choix vous serez mimi.»

Sa commande qu’elle confia à la nymphette venue recueillir la liste de leurs envies avant que de s’éloigner. Genesis qui avait pris le temps d’observer l’homme qui venait d’arriver. Un danger potentiel peut-être ? Non, juste un homme à la mine endormie qui offrit à la femme qu’il rejoignit, à l’évidence sa chérie, un sourire fané mais un baiser si tendre que même la femme courant d’air en fut émue.  

« Je commence à me dire que je vous préférais muet vous savez ?»


Son assiette de pancakes et son pot de pâte à tartiner qu’on lui amenait à ç compagne de son grand bol de café et de son jus de framboise. Elle qui y fut honneur en croquant dedans à pleines dents et qui en gloussait de plaisir avant que d’en revenir à l’homme face à elle.  

« Ravalez vos discours tout faits et vos mots tout juste dignes d’un déliant publicitaire pour une colonie de vacances pour adultes masochistes ou suicidaires. Je ne suis ni l’un ni l’autre et vos conneries j’y ai si bien cru que j’ai bien manqué finir démembrée chez moi !»


Un pancake qu’elle avalait goulûment avant de faire passer la dernière bouchée dans une gorgée de café. Et ses couverts qu’elle reposait sagement de chaque coté de son assiette.  

« Me protéger ? Quand vous n’arrivez même pas à protéger l’une des vôtres ? Une femme qui savait se méfier et se défendre mais qui a quand même fini s vie en petits cubes ! Vous voulez que je pense que vous saurez me protéger ?!»


Aucune chance ! Il était des images que l’on ne pouvait jamais oublier. Des images qui s’imprimaient à la rétine et vous hantaient même en pleine journée. Lui avait fait le choix d’en faire son métier. Pas Genesis. Elle avait regardé l’agent et murmuré du bout des lèvres des excuses muettes. Puis, se relevant d’un bond et si brusquement que son verre se renversa le jus rose profond dérivant jusque vers l’agent. L’homme qu’elle pointait du doigt avant que de s’écrier bien assez fort pour que tout le monde l’entende  

« Comment oses tu ?!
alors que toutes les personnes présentes laissaient leur regard glisser vers le couple elle avait feint les larmes et la détresse   Non ! Je ne rentrerai pas ! Laisse moi tranquille !»  

Des larmes qui dévalaient ses joues et ses lèvres qui tremblaient alors qu’elle courait se réfugier dans les bras de la serveuse alertée par tout ce vacarme. Elle qui sanglotait à merveilles -elle se dit alors qu’elle aurait pu être comédienne/ racontant l’histoire d’un amour qui finit mal assassiné par la jalousie et la possessivité toxique d’un homme. Évidemment son gabarit de souris et celui de géant de Wallander jouèrent en faveur de la menteuse. Et elle se retrouvait escortée dehors jusqu’à cette voiture où elle monta. Dans le restaurant le blond saurait se débrouiller sinon c’est qu’il était vraiment un piètre agent. Il n’y avait qu’une route menant à ce restaurant. C’était précisément pour cette raison qu’elle l’avait choisi. Alors elle s’était éloignée du restaurant. Juste assez pour que ses sauveurs n’assistent pas au second acte de cette comédie de boulevard. Comme elle s’y était attendue la voiture de Wallander ne tarda pas à apparaître. Assise sur le capot de son tas de ferraille, une cigarette coincée entre ses lèvres pincées elle avait attendu qu’il se gare avant de lever les mains en signe de reddition.  

« Vous vouliez une trêve non ?
elle avait sauté à bas de son perchoir et était venue se placer juste devant le blond légitimement en colère   Si jamais nous devions en conclure une alors ce sera selon mes termes. un sourire espiègle    Refusez et vous et moi entamerons une épuisante partie de cache cache. Je ferais de votre vie un enfer. Acceptez et peut-être arriverons nous l’un et l’autre en vie au procès.»

Elle était retournée s’asseoir sur le capot de sa voiture et avait montré sa tocante.  

« Mon offre est valable encore trente secondes. Après il faudra courir Monsieur le Chat !»


Tic… Tac…
me contacter

Andreas Wallander aime ce message

@ Andreas Wallander

Andreas Wallander
NEWBIE SUR OML
2 10/07/2023

absolaime UC
#
Jeu 3 Aoû 2023 - 20:10


together we are stronger
feat.   @Genesis Haller   


Retrouver Genesis n’avait pas été une partie de plaisir, mais maintenant qu’elle était devant lui, Andreas était partagé entre soulagement et colère. Colère parce qu’elle s’était encore plus mise en danger. Il aurait pu lui arriver n’importe quoi pendant cette fuite. Et le fait qu’une de ses collègues et amies y ait laissé la vie n’était pas étranger à sa colère. Un grognement lui avait échappé quand Genesis avait sorti de sa poche une clé tordue. Celle des menottes. Il aurait pu en rire dans d’autres circonstances.

« Non, je n’ai pas oublié. »

Il n’avait pas vraiment envie de déjeuner mais il avait saisi la carte tendue. Mais il avait opté pour un simple café. Il n’était pas là pour déjeuner même si la carte était alléchante.

« C’est bien la première fois qu’on me préfère muet. »

Il n’avait pu s’empêcher de rouler légèrement les yeux.

« Ce ne sont pas des conneries. »

Il était parfaitement sincère. Il y avait eu un sacré raté, mais c’était toutefois la meilleure façon de faire. Probablement l’unique, s’il devait se montrer parfaitement honnête. Mais dans tous les cas, il valait mieux tirer un trait sur une vie tranquille, tant qu’un réel point final ne serait pas mis à cette histoire. Et s’ils n’en faisait rien, alors la collègue d’Andreas serait morte pour rien. Et ça, le suédois ne pouvait pas s’y résoudre.

« Croyez-moi, je porte suffisamment le poids de ce qu’il est arrivé à Dorotea sans que vous n’y ajoutiez quoi que ce soit. Elle savait à quoi s’attendre. »

Il aurait voulu pouvoir expliquer que c’était le genre d’éventualités à laquelle ils se préparaient tous en espérant ne jamais en arriver-là. Que s’ils en arrivaient à faire ce sacrifice-là, c’était pour que les autres puissent vivre. Mais à vrai dire, il n’était plus vraiment certain d’y croire.

« Si vous fuyez, si le procès n’a pas lieux, alors elle sera morte pour rien. »

Et ça, il ne pouvait le tolérer. Il ne s’attendait pas au petit tour qu’elle lui joua ensuite, à jouer les couples qui se disputent. Et évidemment, il se retrouva piégé tandis qu’elle se faisait la belle. Il lui fallu tout ses talents de négociateur pour se défaire de ce pétrin. Et il fallait dire que sa carrure et le manque de patience du à son manque de sommeil ne jouaient pas en sa faveur. Quand il fut enfin parvenu à se dépêtrer de la situation, il sortit, aussi furieux qu’inquiet qu’elle ait pu profiter de ce moment de chaos pour s’éclipser définitivement. Elle n’était pas partie bien loin… Ce qui était encore plus incompréhensible. Il était sorti d’un bond de sa voiture.

« Ne refaites jamais ça. » avait-il grondé.

Elle se payait sa tête, en plus ? Il s’était pincé l’arrête du nez.

« Très bien. Très bien. Faisons cela  de manière civilisée. »

Un soupir.

« Pas de fuite, pas de traquenard, s’il vous plait ? »

Il en avait marre de courir. Il n’était là que pour faire son travail après tout, dans tout ce qu’il pouvait avoir de plaisant ou de déplaisant.

« Repartons sur de bonnes bases, ou essayons ? »

Un maigre sourire s’était invité à ses lèvres, parce que malgré ses airs bien trop souvent sérieux, il possédait un certain sens de l’humour.

« Et je ne vous ferais pas parvenir la note du pressing ? »

Son air s’était fait plus sérieux. Parce qu’il ne pouvait pas oublier le reste de l’histoire, ce qui les avait amenés à Oxford au bout d’une éreintante fuite en avant.

« Mais je vous préviens, refaites-moi un coup comme ça, et je vous jure que je vous ramène à Stockholm dans le coffre de ma voiture, quitte à me faire arrêter moi-même. »

Si ses ennuis avaient un nom, ils s’appelleraient assurément Genesis Haller. Pourtant, il aurait pu laisser d’autres se charger de la retrouver. Rien ne l’y avait obligé. A part peut-être son sens du devoir et le devoir qu’il s’estimait avoir envers Dorotea.

« Donc, comment souhaitez-vous procéder puisque vous voulez décider des termes ? »

Un léger soupir.

« Et tant que ça reste dans ce qui est de l’ordre du faisable pour moi. »

Parce que quoi qu’ils en disent, il avait tout de même une mission à accomplir.
me contacter

@ Contenu sponsorisé

#
me contacter

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum