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Meeting and new roommate Feat Themis
En Ville :: COWLEY@ Tessa Cooper
24 Wanky BlondieMogo. Americano-Anglaise
Meeting and new roommate Feat @Themis Bercow
Aout 2023, fin de matinée
Dans quelques instants j’allais rencontrer peut-être ma nouvelle colocation, je ne pouvais pas rester vivre ici toute seule et comme Inaya était partie et que Tamsin était partie vivre chez son mec je me retrouvé ici seule… Je n’avais clairement pas les moyens de vivre dans cet appartement seule et je ne voulais pas non plus. Cet endroit était assez grand pour vivre à trois voir 4 si on aménager le bureau, donc je devais retrouver 2 voir 3 autres colocataire, ce qui n’étais pas une chose facile, depuis le départ des filles en Juillet j’avais reçu tellement de monde que j’en avait perdue le compte, j’étais même prête à vivre en colocation avec des mecs si cela me permettait de ne pas vivre seule et de passé mon temps à penser au professeur Bells, qui obsédait littéralement chacune de mes pensées, je dormais en pensant à lui, je bossais en pensant à lui, le moindre truc que je faisais me ramener à notre première nuit ensemble et surtout à cette soirée en mai ou nous avions fait l’amour sur son bureau, c’était tellement torride…
Je secoue la tête alors qu’une blonde face à moi m’explique sa vie… mais je m’en fiche moi de sa vie, je veux Tamsin et Inaya, j’ai déjà eu du mal à accepter la colocation, mais Tam et Ina était mes amies, on se complété, j’aimais à dire qu’on était les super nanas, j’était Rebelle bien-sûr, Ina était Bulle et Tam était Belle… maintenant je suis juste moi Tessa… J’ai pensé à un moment retourné vivre dans ma voiture, mais je dois avouer que le confort et le réconfort d’une maison me plait vraiment beaucoup… et puis prendre des douches chaude tout les jours aussi… Je regarde la blonde et je lui demande de partir, que clairement ça ne va pas fonctionner entre nous deux…
J’envoie un message à Tam pour me lamenter sur moi-même “Franchement, c'est une plaie de trouver une nouvelle coloc… Je te déteste tellement d’être partie, mais en même temps je suis hyper heureuse pour toi morue. Je t’aime malgré tout ma Tam… Profite à fond avec ton médecin… ne m’oublie pas”. Je soupire et je repose mon téléphone alors qu’un mec rentre. Il est plutôt canon, grand brun, yeux noirs avec des tatouages partout, à un moment donné il aurait été ma came je l’aurait pris comme coloc juste pour pouvoir coucher avec lui, sauf que je ne peux pas m’empêcher de voir Newton, de sentir ses mains sur moi… Je me mords la lèvre inférieur à cette pensée et je dis au mec que ça ne sera pas possible, il me regarde choquer, il ne doit pas avoir l’habitude qu’on lui dise non, je prends mon air de pétasse.
- Et ouais mon vieux tout le monde ne peut pas être à tes pieds…
Il part en me faisant un doigt d’honneur, mais clairement je m’en fiche royalement, je pose mes coudes sur le plan de travail en soupirant et en posant mon menton sur mes mains… Je reprends mon téléphone et j'envoie un message à Ina "Ne m'oublie pas, c'est l'enfer de trouver une colocataire, elles sont toutes connes..." Je grogne quand une nouvelle personne rentre dans l’appartement, c’est une brune avec des yeux très bleu, je la regarde et j’essaie de sourire, je dois paraitre gentille et pas une garce ou une fille de mauvaise humeur. Elle me semble bien à première vue, mieux que la Barbie d’avant et le mec.
- Salut… Tu es là pour l’annonce pour la colocation??
Allez Tessa soit sympa, je souris et je l’invite à s’asseoir en lui indiquant le tabouret face à moi.
- Tu veux boire quelques choses??
Voilà, c'est bien, Tam et Ina serait fière de toi, que tu te montre sociable pour une fois.
Dans quelques instants j’allais rencontrer peut-être ma nouvelle colocation, je ne pouvais pas rester vivre ici toute seule et comme Inaya était partie et que Tamsin était partie vivre chez son mec je me retrouvé ici seule… Je n’avais clairement pas les moyens de vivre dans cet appartement seule et je ne voulais pas non plus. Cet endroit était assez grand pour vivre à trois voir 4 si on aménager le bureau, donc je devais retrouver 2 voir 3 autres colocataire, ce qui n’étais pas une chose facile, depuis le départ des filles en Juillet j’avais reçu tellement de monde que j’en avait perdue le compte, j’étais même prête à vivre en colocation avec des mecs si cela me permettait de ne pas vivre seule et de passé mon temps à penser au professeur Bells, qui obsédait littéralement chacune de mes pensées, je dormais en pensant à lui, je bossais en pensant à lui, le moindre truc que je faisais me ramener à notre première nuit ensemble et surtout à cette soirée en mai ou nous avions fait l’amour sur son bureau, c’était tellement torride…
Je secoue la tête alors qu’une blonde face à moi m’explique sa vie… mais je m’en fiche moi de sa vie, je veux Tamsin et Inaya, j’ai déjà eu du mal à accepter la colocation, mais Tam et Ina était mes amies, on se complété, j’aimais à dire qu’on était les super nanas, j’était Rebelle bien-sûr, Ina était Bulle et Tam était Belle… maintenant je suis juste moi Tessa… J’ai pensé à un moment retourné vivre dans ma voiture, mais je dois avouer que le confort et le réconfort d’une maison me plait vraiment beaucoup… et puis prendre des douches chaude tout les jours aussi… Je regarde la blonde et je lui demande de partir, que clairement ça ne va pas fonctionner entre nous deux…
J’envoie un message à Tam pour me lamenter sur moi-même “Franchement, c'est une plaie de trouver une nouvelle coloc… Je te déteste tellement d’être partie, mais en même temps je suis hyper heureuse pour toi morue. Je t’aime malgré tout ma Tam… Profite à fond avec ton médecin… ne m’oublie pas”. Je soupire et je repose mon téléphone alors qu’un mec rentre. Il est plutôt canon, grand brun, yeux noirs avec des tatouages partout, à un moment donné il aurait été ma came je l’aurait pris comme coloc juste pour pouvoir coucher avec lui, sauf que je ne peux pas m’empêcher de voir Newton, de sentir ses mains sur moi… Je me mords la lèvre inférieur à cette pensée et je dis au mec que ça ne sera pas possible, il me regarde choquer, il ne doit pas avoir l’habitude qu’on lui dise non, je prends mon air de pétasse.
- Et ouais mon vieux tout le monde ne peut pas être à tes pieds…
Il part en me faisant un doigt d’honneur, mais clairement je m’en fiche royalement, je pose mes coudes sur le plan de travail en soupirant et en posant mon menton sur mes mains… Je reprends mon téléphone et j'envoie un message à Ina "Ne m'oublie pas, c'est l'enfer de trouver une colocataire, elles sont toutes connes..." Je grogne quand une nouvelle personne rentre dans l’appartement, c’est une brune avec des yeux très bleu, je la regarde et j’essaie de sourire, je dois paraitre gentille et pas une garce ou une fille de mauvaise humeur. Elle me semble bien à première vue, mieux que la Barbie d’avant et le mec.
- Salut… Tu es là pour l’annonce pour la colocation??
Allez Tessa soit sympa, je souris et je l’invite à s’asseoir en lui indiquant le tabouret face à moi.
- Tu veux boire quelques choses??
Voilà, c'est bien, Tam et Ina serait fière de toi, que tu te montre sociable pour une fois.
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@ Themis Bercow
self britannique
Meeting and new roommate Feat @Tessa Cooper
Aout 2023, fin de matinée
Le monde était si vaste ! Empli de ces pays, de ces terres qui ne demandaient qu’à être foulées et parcourues. S’endormir un jour sous une tente immaculée et sous les étoiles kenyanes, se réveiller la semaine suivante au cinquante-huitième étage d’une tour new-yorkaise. Manger des onigiris à Kyōto et du fafaru sur une plage de Raiatea. Aller à la rencontre des gens, prendre le temps de les connaître et non de les juger sur une impression ou des apparences. C’était cela qu’elle aimait, avait appris de ses voyages des presque dix-huit derniers mois. Et bien qu’elle sache proche le moment de reprendre le collier de la vie étudiante, Themis ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle avait trouvé sa voie.
Alors que le taxi la déposait devant un immeuble semblable à ses si tristes voisins, elle avait soupiré tout en grimaçant devant le ballet de ces ballet étrange de gens qui se croisaient sur les marches du perron. D’après leurs tenues comme leurs âges relativement proches du sien il semblait que tous étaient là pour la même raison : une place dans une colocation. Même si Oxford n’était clairement pas Londres la présence de la prestigieuse université du même nom rendait les choses tout aussi compliquées. Se loger : le Saint Graal des temps modernes ! Pestant contre le fait de s’être réveillée si tard, contrariée à l’idée de peut-être avoir ruiné toutes ses chances elle était arrivée le nez froncé dans cet appartement dont sortait justement, et l’air furibond, un play-boy à la manque. Pouffant de rire l’habituée du baroud était entrée, prenant le temps de désigner d’un mouvement du menton son prédécesseur
« Rassure-moi : il n’a pas été retenu hein ? Non parce que même si je ne suis pas du genre à squatter la salle de bains j’aime l’idée de pouvoir y entrer sans trouver Schtroumpf Narcissique en train de se déclamer son amour dans le miroir !»
Puis elle s’était retournée et avancée en souriant vers la jeune femme rousse qui venait de l’interroger. Apparemment c’était elle qui avait passé l’annonce. L’appartement était spacieux et son orientation offrait une luminosité appréciable et, même, étonnante pour le coin.
« Oui, pardon. Je suis venue dès que j’ai pu. J’espère qu’il n’est pas trop tard ? Ton appartement est génial et j’imagine que tu as du avoir plus d’un candidat intéressé.»
Osant s’approcher un peu plus, laissant son regard s’aventurer dans le couloir où elle devinait se trouver les chambres la brune avait fini par ramener son attention vers celle à qui elle tendit non pas la main mais ce paquet de scones qu’elle était allée chercher sans son sac à dos.
« Je me suis dit que recevoir tant de monde devait faire oublier l’essentiel comme se nourrir alors je me suis arrêtée à la boulangerie du coin et je t’ai pris cela. Et, promis, ce n’est pas une tentative de corruption.»
Mais si cela lui valait un petit plus elle n’allait pas non plus se plaindre. Levant un autre doigt comme pour signifier à l’occupante des lieux d’attendre une seconde elle avait fouillé dans la poche intérieure de son cuir cette fois et en avait extirpé une enveloppe si bien gavée de billets que les coutures en craquaient.
« Comme je ne savais pas si tu sous louais et du coup si tu préférais du cash … Il y a six mois de charges et loyers dedans. Je me suis permise d’ajouter un peu plus que ce que précisait l’annonce. Ce sera pour les charges comme internet, gaz, chauffage et même la nourriture. J’aime pas le système de chacun son étage dans le frigo. C’est pas amical.»
Et a des années-lumière de ce qu’elle avait connu aussi. Devant l’offre de boire quelque chose la jeune femme avait acquiescé dans un petit mouvement de tête
« Je veux bien s’il te plait. Soda ou de l’eau selon ce que tu as s’il te plaît. puis lui tendant la main elle avait enfin songé à se présenter Je m’appelle Thémis. Mon père travaille à l’université : il est responsable de la sécurité. Et pour ma part… une hésitation Ma mère et lui m’ont autorisée à voyager pendant deux ans avant de reprendre mes etude. Nous y sommes presque. le sac à dos qu’elle désignait maintenant Je rentre du Kenya. Et pour le loyer ne t’inquiète pas je suis solvable. Mes activités sur les réseaux me permettant de vivre plus que convenablement.»
Puis elle s’était tue et avait regardé la fille face à elle. Peut-être dans l’espoir qu’elle lui donne son nom ? Cela pourrait-il être utile si, comme Themis l’espérait, elles devaient devenir colocataires.
Le monde était si vaste ! Empli de ces pays, de ces terres qui ne demandaient qu’à être foulées et parcourues. S’endormir un jour sous une tente immaculée et sous les étoiles kenyanes, se réveiller la semaine suivante au cinquante-huitième étage d’une tour new-yorkaise. Manger des onigiris à Kyōto et du fafaru sur une plage de Raiatea. Aller à la rencontre des gens, prendre le temps de les connaître et non de les juger sur une impression ou des apparences. C’était cela qu’elle aimait, avait appris de ses voyages des presque dix-huit derniers mois. Et bien qu’elle sache proche le moment de reprendre le collier de la vie étudiante, Themis ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle avait trouvé sa voie.
Alors que le taxi la déposait devant un immeuble semblable à ses si tristes voisins, elle avait soupiré tout en grimaçant devant le ballet de ces ballet étrange de gens qui se croisaient sur les marches du perron. D’après leurs tenues comme leurs âges relativement proches du sien il semblait que tous étaient là pour la même raison : une place dans une colocation. Même si Oxford n’était clairement pas Londres la présence de la prestigieuse université du même nom rendait les choses tout aussi compliquées. Se loger : le Saint Graal des temps modernes ! Pestant contre le fait de s’être réveillée si tard, contrariée à l’idée de peut-être avoir ruiné toutes ses chances elle était arrivée le nez froncé dans cet appartement dont sortait justement, et l’air furibond, un play-boy à la manque. Pouffant de rire l’habituée du baroud était entrée, prenant le temps de désigner d’un mouvement du menton son prédécesseur
« Rassure-moi : il n’a pas été retenu hein ? Non parce que même si je ne suis pas du genre à squatter la salle de bains j’aime l’idée de pouvoir y entrer sans trouver Schtroumpf Narcissique en train de se déclamer son amour dans le miroir !»
Puis elle s’était retournée et avancée en souriant vers la jeune femme rousse qui venait de l’interroger. Apparemment c’était elle qui avait passé l’annonce. L’appartement était spacieux et son orientation offrait une luminosité appréciable et, même, étonnante pour le coin.
« Oui, pardon. Je suis venue dès que j’ai pu. J’espère qu’il n’est pas trop tard ? Ton appartement est génial et j’imagine que tu as du avoir plus d’un candidat intéressé.»
Osant s’approcher un peu plus, laissant son regard s’aventurer dans le couloir où elle devinait se trouver les chambres la brune avait fini par ramener son attention vers celle à qui elle tendit non pas la main mais ce paquet de scones qu’elle était allée chercher sans son sac à dos.
« Je me suis dit que recevoir tant de monde devait faire oublier l’essentiel comme se nourrir alors je me suis arrêtée à la boulangerie du coin et je t’ai pris cela. Et, promis, ce n’est pas une tentative de corruption.»
Mais si cela lui valait un petit plus elle n’allait pas non plus se plaindre. Levant un autre doigt comme pour signifier à l’occupante des lieux d’attendre une seconde elle avait fouillé dans la poche intérieure de son cuir cette fois et en avait extirpé une enveloppe si bien gavée de billets que les coutures en craquaient.
« Comme je ne savais pas si tu sous louais et du coup si tu préférais du cash … Il y a six mois de charges et loyers dedans. Je me suis permise d’ajouter un peu plus que ce que précisait l’annonce. Ce sera pour les charges comme internet, gaz, chauffage et même la nourriture. J’aime pas le système de chacun son étage dans le frigo. C’est pas amical.»
Et a des années-lumière de ce qu’elle avait connu aussi. Devant l’offre de boire quelque chose la jeune femme avait acquiescé dans un petit mouvement de tête
« Je veux bien s’il te plait. Soda ou de l’eau selon ce que tu as s’il te plaît. puis lui tendant la main elle avait enfin songé à se présenter Je m’appelle Thémis. Mon père travaille à l’université : il est responsable de la sécurité. Et pour ma part… une hésitation Ma mère et lui m’ont autorisée à voyager pendant deux ans avant de reprendre mes etude. Nous y sommes presque. le sac à dos qu’elle désignait maintenant Je rentre du Kenya. Et pour le loyer ne t’inquiète pas je suis solvable. Mes activités sur les réseaux me permettant de vivre plus que convenablement.»
Puis elle s’était tue et avait regardé la fille face à elle. Peut-être dans l’espoir qu’elle lui donne son nom ? Cela pourrait-il être utile si, comme Themis l’espérait, elles devaient devenir colocataires.
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