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Don’t play me for a fool feat. Liev

@ Zipporah Saada

Zipporah Saada
ADMIN - QUEEN OF SPADES
65 17/05/2023

myself (avatar) && underco Madame Saada ou Zippo pour les très rares personnes à m’être proches. Israélienne
#
Sam 2 Sep 2023 - 20:53


together we are stronger
feat.   @Liev Saada


Un quart d’heure. Quinze minutes. Neuf cents minutes ou cinquante-quatre milles secondes. Dire qu’elle les avait comptées eut été exagéré. Voir un mensonge éhonté. Mais c’était tout comme tant elle avait pu sentir son sang douloureusement rugir en ses veines, ses mains si crispées sur le cuir de sa Mercedes que ses articulations en étaient blêmes. Sur le tableau de bord un papier blanc froissé. Une amende qu’elle s’était récoltée lorsqu’un agent au départ des plus affables était venu lui signaler qu’elle ne pouvait stationner ici. Le ton était monté sans qu’elle comprenne comment ni pourquoi -elle avait néanmoins conscience d’en être l’unique responsable- et l’homme était reparti en jurant et après l’avoir alignée pour  refus d’obtempérer et insulte à agent. Elle demanderait à Arthur de la faire sauter. Ou, mieux, elle laisserait le soin à son abruti de jumeau de la régler ! Après tout c’était bien sa faute si elle était coincée là depuis une ces fichues cinquante-quatre milles secondes !

N’y tenant plus, fulminant tant et tant dans l’habitacle de sa berline que l’air en était devenu irrespirable ou presque, l’avocate s’était décidée à sortir. La clameur de la foule se pressant, joyeuse et enthousiaste vers le monde des plaisirs futiles et puérils venant heurter ses tympans. Les mains engoncées dans les poches de son élégant pantalon de lin blanc, les foudres de ses prunelles dissimulées derrière les verres fumés de ses lunettes de soleil, elle avait rejoint l’horripilant cortège. Son téléphone qui vibrait et la voilà qui suspendait ses pas pour mieux prendre connaissance du message qui arrivait. Arthur, justement. Son doigt qui hésita une seconde avant que de se décider à rejeter l’appel. Elle était de fort méchante humeur et…

« Tamsin ?»


Un sourire presque attendri qui étirait les commissures de ses lèvres et la voilà qui s’apprêtait à aller à la rencontre de leur rayon de soleil a Julian et elle quand elle le vit surgir à son tour. Lui. Son frère. Un sourcil qui s’était haussé alors qu’elle se serait presque amusée de la coïncidence. Sauf qu’elle eut vite fait de comprendre que cela n’en était pas une. Que les deux se croisent n’avait rien d’étonnant. Qu’ils se montrent aussi familiers non plus à vrai dire. Tamsin avait été leur baby-sitter pendant plus de six ans avant que les choses n’échappent à leur contrôle à tous. Elle avait été de plus d’une soirée, de plus d’une fête au point, même, que les parents ne l’invitent à leur anniversaire de mariage. Mais que son frère et elle se fréquentent en dehors, ça, c’était pour le moins inédit. Voir dérangeant. Zipporah s’était secouée avant que faire craquer les os de son cou devant cette attitude qui ne lui ressemblait pas. Cette gamine lui chauffaient si bien les sens qu’elle n’était pas loin d’en perdre la tête ! Tamsin avait annoncé ce matin qu’elle comptait aller au cinéma cet après-midi mais qu’elle déposerait les enfants chez leurs grands-parents auparavant. Le cinéma n’était pas loin. Si cela tombait elle devait retrouver des amis ici avant et était par hasard tombée sur Liev ? Ça devait être ça, oui.

« Tu es prêt ? Il paraît que Barbie promet de battre tous les records ! J’avoue que l’on en a tant parlé que je ne sais pas si je dois être enthousiaste ou écœurée.»


Les sourcils de l’avocate qui se fronçaient avant que ses longs cils ne se mettent à battre furieusement l’air. Puis elle après avoir vu son jumeau se saisir dans un sourire du casque que l’étudiante lui tendait Zipporah avait détourné les talons. Elle n’avait, à l’évidence, plus rien à faire ici. Pendant les quelques minutes qu’elle mit à rejoindre le parking la scène à laquelle elle venait bien malgré elle d’assister tournait en boucle dans son esprit. Ce n’était rien, elle en était certaine. Jamais Tamsin n’aurait été capable de malice. Jamais. Elle, non. Son jumeau en revanche. Après tour n’avait il pas potentiellement mis une femme mariée enceinte ?

Un téléphone qu’elle ancrait à sa pomme et la sonnerie qui vrillait ses tympans alors qu’elle tentait de le joindre. Une fois. Deux fois. L’ironie du sort qui voulut que le mouton noir de sa famille et l’étudiante passent pile à ce moment-là non loin de son véhicule. Ils riaient. Il avait saisi son téléphone et regardé l’écran. Une seconde plus tard  Zipporah tombait sur la messagerie de son frère.

« Salut toi ! J’espère que tu n’es pas trop submergé de travail ? Je voulais juste te prévenir que comme les enfants sont chez les parents aujourd’hui je me disais que je pourrais passer les récupérer.»


Une hésitation puis le bruit de son briquet dont elle se servait pour venir embraser sa cigarette.

« J’ai envie d’offrir une soirée de tranquillité à Julian et Tam. Tu sais ce que c’est quand on est amoureux on a envie d’être seuls.»


La clé de contact qu’elle tournait et le moteur qui se mettait à ronronner.

« Viens dîner. Ce n’est pas une proposition. Il faut que l’on parle Liev.»


Le ton autoritaire. Non, péremptoire. Puis elle avait raccroché et pris la direction du centre ville. Elle devait parler à Arthur. Ou, pourquoi pas, aller déjeuner avec Julian ? Même si, pour être honnête et si l’homme avait du temps à lui accorder elle n’entendait pas réellement manger.

Bien des heures plus tard, l’incident de ce matin toujours ancré à son esprit, l’enseignante était arrivée chez ses parents. Les enfants s’étaient précipités pour l’accueillir leurs dessins dans les mains et leur amour à ces baisers dont ils la couvrirent. Dans la cuisine son frère était déjà là. Sans même prendre le temps de le saluer elle s’était laissée entrainer dans le petit salon de l’appartement de ses parents. L’endroit était aussi ridiculement petit qu’il était vétuste. Plus d’une fois elle avait tenté de les convaincre de la laisser les installée ailleurs. Dans un appartement plus grand, peut-être même une maison. Mais ils avaient toujours refusé arguant que la maison n’était faite de murs mais d’amour. Beau discours mais un tantinet idiot selon elle. Après que les petits aient filé regarder leur dessin animé Zipporah s’était exécutée quand sa mère l’avait priée d’aller mettre le couvert avec son aîné.

Après qu’ils aient tourné en silence plusieurs fois autour de la table pour mettre  les assiettes puis les verres la femme s’était emparée des couverts. Les fourchettes à gauche. Les couteaux à droite. Sauf un. Celui qu’elle planta à ça de la main de son jumeau. Son regard qu’elle chercha enfin et alors

«  Qu’est-ce que tu fous avec Reagan ?! Faut-il vraiment que je t’achète des préservatifs ?! Elle est mariée bon sang ! T’amuser est une chose mais l’engrosser ? Rassurez-moi tu n’espères quand même pas qu’elle te choisisse toi plutôt qu’Arthur ?!»


Sa langue qui claquait d’agacement à son palais tandis qu’elle maintenait fermement le poignet de son frère. Qu’il commence déjà par s’expliquer là-dessus. Ensuite, et s’il survivait au repas alors elle lui parlerait éventuellement de Barbie. Et, non, elle ne parlait pas que du film.
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@ Liev Saada

Liev Saada
NEWBIE SUR OML
28 16/06/2023

Absolaime israélienne
#
Sam 2 Sep 2023 - 21:30


together we are stronger
feat.   @Zipporah Saada


Liev avait toujours eu le talent pour se fourrer dans des ennuis. Parfois un peu trop volontairement. La situation avec Reagan l’avait peut-être un peu poussé à agir de manière inconsidérée. Et ce n’était probablement pas malin de sa part d’impliquer Tamsin dans cette histoire. Même si sa relation avec la baby-sitter de son neveu et de sa nièce n’était pas de ce genre là. Enfin. Il n’aurait pas bien su la définir. Ils étaient amis. Enfin, en voie de le devenir. La soirée à la foire n’avait été que la porte ouverte à faire un peu plus connaissance, dans un cadre différent de celui de leurs précédentes rencontre et des fois où ils avaient gardé les enfants de sa sœur ensemble. Alors, la sortie au cinéma, Liev avait pris cela comme un rendez-vous amical, pas comme un plan drague ou qu’importe. C’était juste pour essayer d’oublier, pendant quelques temps la situation avec Reagan, le silence radio et le flou dans lequel il était constamment. Il allait devenir fou à se retrouver ainsi à attendre. Alors oui, il se laissait happer par toute distraction qui passait à sa portée.

Alors s’il s’agissait d’aller voir Barbie avec Tamsin et aussi monter derrière elle en moto, il n’allait pas refuser. Le film lui importait peu à vrai dire. Mais à vrai dire, oui, Tamsin était une bouffée d’air frais à son quotidien. Et il ne regrettait absolument pas d’avoir accepté son invitation. Alors quand il avait vu le nom de sa sœur s’afficher dans les appels entrants, il n’avait pas vraiment hésité à renvoyer l’appel vers sa boite vocale. Il s’en sentirait probablement coupable plus tard.


Ce ne fut qu’en écoutant le message après coup qu’il regratta légèrement d’avoir repoussé l’appel. Déjà quand sa sœur disait quelque chose comme il faut qu’on parle, ça sentait sacrément le roussi. Mais l’allusion à la soirée entre amoureux de Julian et Tamsin… Il y avait anguille sous roche. Elle ne les avait quand même pas vus ? Et puis… Ils ne faisaient rien de mal après tout. Il essayait de se persuader qu’il n’avait pas à s’inquiéter.

C’était avec une légère appréhension qu’il s’était rendu chez leurs parents. Zippo n’était pas encore là si bien qu’il s’était retrouvé pris en otage par deux enfants comme toujours survoltés à l’idée d’avoir leur tonton avec eux. Et Liev était tout aussi heureux. Parce qu’il adorait les deux enfants. Et il se moquait bien de devoir jouer à mille jeux différents ou imiter des animaux ou des personnages de dessin animé. Tout ce qu’il aimait c’était entendre le rire de la fratrie. Il n’y avait pas de plus douce mélodie à ses oreilles. Évidemment, il avait pu passer un peu de temps avec les parents, à discuter de tout mais surtout de rien avant d’être pris en otage par ceux qu’il surnommait ses petits monstres avec affection.

Zipporah était arrivée et quand elle ne l’avait pas salué, il avait su qu’il était vraiment jusqu’au coup dans les ennuis. Oh, il se sentait même comme un gamin pris en faute. Et il savait que ce qu’elle aurait à dire serait mérité. Les parents les avaient envoyé mettre la table pour ce repas qu’ils allaient partager et ils avaient mis les assiettes et les verres dans le plus grand des silences. Sans même se regarder. Zippo avait commencé à mettre les couverts avant de planter un couteau dans la table au point de frôler sa main.. Il n’avait pas cillé.

« Mais ça va pas ? »

Il avait violemment dégagé son poignet de la main de fer de sa sœur.

« En quoi ça te regarde ? »

Le ton qu’il baissait pour n’alarmer ni leurs parents ni les enfants.

« Et qu’est-ce qui te fait croire que l’enfant est de moi ? »

C’était là que la situation blessait le plus. Peut-être que Liev aurait accepté les remontrances s’il avait été sur que l’enfant était bien de lui, il aurait pu complètement assumer de se faire engueuler, de reconnaître qu’il avait merdé. Mais pour un cinquante-cinquante, il ne pouvait pas faire autrement que regimber.

« Honnêtement ? J’en sais rien vu qu’elle refuse de me répondre et de parler à Arthur. Voire potentiellement de faire un test de paternité. »

Ses sourcils qu’il avait froncés.

« Et puis, d’où tu me fais la morale. Tu couches avec Arthur. »

Certes pour la partie se faire engrosser ce n’était pas comparable. Mais … Quand même c’était un peu osé de lui faire la leçon ainsi.

« Et sincèrement, faire ça ici ? Avec les parents et les enfants dans la pièce voisine, vraiment ? »

Ils auraient pu faire ça ailleurs. Ou pas. Parce qu’ailleurs – même chez lui – il aurait pu partir en claquant la porte. Là, il n’oserait pas. Zippo le connaissait beaucoup trop bien sur certains aspects.

« Je sais que j’ai fait de la merde. Je n’ai pas besoin d’une leçon de morale. » avait-il grogné.
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@ Zipporah Saada

Zipporah Saada
ADMIN - QUEEN OF SPADES
65 17/05/2023

myself (avatar) && underco Madame Saada ou Zippo pour les très rares personnes à m’être proches. Israélienne
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Ven 8 Sep 2023 - 22:44


together we are stronger
feat.   @Liev Saada


Devant leurs parents, et plus encore ses enfants, Zipporah était parvenue à préserver les apparences. Quand sa mère lui avait demandé comment s'était déroulée sa journée l'habituée des prétoires avait botté en touche se bornant à raconter les épisodes les plus insipides -et donc socialement acceptables, de son emploi du temps. Le brunch pris avec ses confrères du barreau. Des consultations pro bono effectuées pour une association locale. Ah oui ! Elle était passée voir son jumeau à la foire. Elle voulait lui offrir de venir prendre un café. Mais malheureusement elle avait vraiment très mal choisi son jour. Ou peut-être aurait-elle du appeler avant, suggérait leur mère.

« Je l'ai fait ima. Je l'ai fait.»


Mais son frère n'avait pas daigné décrocher, soulignait elle avec perfidie et perdue quelque part entre la colère et la moquerie. Quand sa mère tenta de prendre la défense de son garçon, rêvant encore qu'il la fasse lui aussi grand-mère, elle avait émis en gloussant l'hypothèse qu'il était peut-être en compagnie d'une charmante demoiselle. Exactement la réaction qu'avait cherché à provoquer celle qui poursuivait son implacable réquisitoire, son imparable mise en accusation.

« Mais oui Liev ! Raconte nous ! Elle était si mignonne que cela la fille qui t'a empêchée de répondre à ta jumelle ?»


Un doigt qu'elle plongeait dans le houmous à la pistache avant que sa mère ne le lui fasse ôter d'un regard réprobateur et d'une tape à la main. Un bureka qu'elle chapardait profitant -et exultant- de voir sa mère repartir à la charge et enquêter sur la mystérieuse jeune femme qui faisait poindre le rose aux joues de son grand ballot célibataire de fils.

« Ima a raison ! Tu devrais inviter ta mystérieuse amie Liev ! Pourquoi pas le week-end prochain ? Ce sera l'anniversaire de mariage des parents et il y aura tant de monde qu'elle ne se sentira pas épiée !

— Ecoute ta soeur ! Elle, elle sait y faire avec les gens ! avait approuvé la femme tout en continuant de remuer la graine.
— En plus ce sera la première fois que Julian et Tamsin viendront en tant que couple. Je suis sûre qu’elle sera heureuse de ne pas être la seule sous les feux des projecteurs.

— Vrai ! D’ailleurs comment vont ils tous les deux ? Tu aurais pu les inviter à se joindre à nous !
— Maman ! Je l’aurais fait avec plaisir mais je voulais que les amoureux puissent profiter d’être un peu seuls. Qui sait ? Peut-être te feront-ils un autre petit fils ?

— Que Dieu t’entende ma fille ! Que Dieu t’entende !»

Puis la femme avait chassé sa progéniture de sa cuisine cette fois pour aller se détendre dans le salon. Zipporah je n avait profité pour leur servir un verre. Celui de son double qu’elle dut sincèrement lutter pour ne pas le lui jeter en pleine face et le sien qu’elle avait déjà vidé pour moitié quand elle eut rejoint le fauteuil de son père. Son préféré depuis qu’elle était enfant à cette époque où elle y semblait ridiculement petite. Aujourd’hui il était devenu comme son trône. Celui depuis lequel elle entendait juger son frère. Et d’abord mettre les choses au clair

« Tu ne le sais probablement pas mais Julian et moi avons couché avec elle. Et si elle y consentait je serais la première à sauter sur l’occasion. J’admets n’avoir que très rarement eu l’occasion de me délecter d’un aussi beau jouet


Des mots choisis pour choquer son frère en lui apprenant ces parties fines à laquelle Julian et elle avaient initié la si sage baby-sitter. Zipporah savait que jamais son ex ne serait aller raconter pareille anecdote à Liev. Quant à l’idée que Tamsin ait pu le faire paraissait si ridicule à la juriste qu’elle en gloussa. Elle n’avouerait jamais sa possessivité ni sa jalousie envers une femme qui, pour être honnête, ne lui avait jamais autant plue que depuis le jour où Julian s’était mis à la désirer. Alors pour ne pas le perdre, ne serait-ce qu’un peu elle avait partagé ses désirs, ses fantasmes.

« De toute manière nous savons tous les deux que jamais tu ne pourrais avoir la bêtise de t’enticher de Tamsin.
un regard sans doute un poil méprisant et assurément plus moqueur que ce qu’elle n’avait prévu Elle est tellement au-dessus de ta catégorie ! Que pourrait elle bien trouver à un forain débraillé quand elle vit un amour parfait avec un chirurgien réputé ?»

Un petit toast qu’elle alla couvrir de tarama pour mieux le tendre à son frère. Puis elle était allée s’adosser au mur séparant le salon du couloir menant à l’entrée. Hors de question que Liev puisse battre en retraite ou prendre une tangente dont il était plus que coutumier. Le verre qui chauffait entre ses mains avant qu’elle n’en finisse le contenu soupirant du plaisir de sentir à sa gorge la douce brûlure de l’alcool.

« Et puis toi et moi savons que tu les préfères mariées nan ?»


Elle avait haussé les épaules et pointé son verre vide vers celui à qui elle répondait enfin.

« Arthur et moi c’est fini. Il semblerait que sa femme et lui aient décidé de se donner une nouvelle chance.»


Zipporah n’avait pas volé sa réputation de garce glacée. Elle était dure. Avec tout le monde. Tout le temps. Mais ce soir, ici et avec son jumeau elle était méchante. La faute de Liev ! S’il était une chose que la dame ne supportait pas c’était que les gens puissent avoir ce dont elle semblait privée. De leur tandem génétique c’est lui qui aurait dû être l’élément faible ! Le malheureux ! Or, quand elle l’avait vu avec la jeune étudiante l’un comme l’autre semblaient heureux. Vraiment. Et cela lui soulevait le coeur.

Elle n’était pas heureuse !
Il n’avait aucun droit ne serait-ce que de le paraître !
Et encore moins avec elle
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