OXFORD MY LIFE
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diary of Tamsin

@ Tamsin Roy

Tamsin Roy
ADMIN — MOGWAI EN MARSHMALLOW
116 05/05/2023

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Mer 24 Mai 2023 - 14:44

les rps

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Tamsin Roy
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Lun 29 Mai 2023 - 0:54


together we are stronger
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19 main2023
Chez Siobhan


Dans la maison les cartons s'éparpillaient et s'entassaient dans Un capharnaüm qui, curieusement, était d'une harmonie si parfaite que cela en devenait beau. Voilà bien là la magie de son aînée -comme cette dernière aimait d'ailleurs tant à le lui rappeler, parvenir à rendre beau et précieux tout ce qui, chez n'importe qui donc eut été disgracieux voir même laid. Mais Siobhan... Un carton encore entre les mains, ses cheveux ramenés en une queue de cheval qui semblait n'avoir pas même souffert des efforts physiques fournis ces dernières heures, la jeune femme resplendissait. Ses pods enfoncés dans ses oreilles, elle bavardait avec son interlocuteur tout en continuant de virevolter d'un bout de la pièce avec une élégance aussi parfaite qu'abjecte. Comment faisait-elle à la fin ?! Toutes les deux étaient les plus parfaites des jumelles sur le plan génétique et lorsque les gens  en croisaient une il n'était pas rare qu'ils la prennent pour l'autre. mais quand elles paraissaient ensemble alors Tamsin se retrouvait renvoyée dans les limbes de l'indifférence. Non, ce n'était pas vraiment cela. Quand sa sœur était présente alors Tamsin savait qu'elle cessait tout bonnement d'exister. Vraiment. Sa sœur attirait à elle tous les regards, capturait toutes les attentions sans daigner laisser ne serait-ce qu'une miette à sa cadette.

La phrase la plus blessante qu'il lui ait jamais été donnée d'entendre ? « Ah ! C'est toi ? Je cherchais Sio.» Se mettait alors en branle le sempiternel manège où son interlocuteur demandait avec encore un zeste de politesse où la septième merveille du monde pouvait être trouvée. Juste avant que le silence gênant et pesant ne s'installe pendant cette seconde qui finissait immanquablement par périr sous l'empressement de l'autre de se retirer. Sans au revoir cela eut été perdre de la salive et du temps à celle qui à l'évidence ne méritait pas même que l'on prenne de ses nouvelles. Sinon Tamsin leur aurait volontiers dit que bien que cela soit sûrement insignifiant pour qui que ce soit son court métrage avait été choisi pour représenter Oxford à la sélection jeunes espoirs du festival de Cannes. Rien à côté du million que sa sœur avait réussi à lever en moins de quinze jours pour les victimes de la guerre en Ukraine. Exploit certes et pour la bonne cause qui plus est. Et tant pis si Siobhan n'avait jamais fait cela que pour gagner plus de followers encore et consolider son image à elle qui serait bientôt officiellement présentée comme la nouvelle ambassadrice de Bulgari. Tamsin était fière de son aînée. Vraiment. Tout comme, une fois de plus, elle se réjouissait de sa réussite. Mais à l'intérieur d'elle-même la jeune femme pleurait ces larmes qui ne perleraient jamais à ses yeux. Quand sa sœur brillait Tamsin, elle, s'étiolait.

« Oh ! Tu m'écoutes ?!
— Pa… Pardon, j’avais la tête ailleurs je crois.

— Tu “crois” ?!»

L’agacement qui claquait au palais de celle qui vint rejoindre l’étudiante rêveuse. Le carton qu’elle déposait négligemment au sol avant que dégainer un paquet de cigarettes dont elle déchirait l’emballage. Le tube empoisonné qui s’embrasait, coincé entre ses lèvres peintes en rouge et les volutes bleutées qui s’élevaient comme un mur venteux entre elles qui se faisaient face, se toisant avec autant de tendresse que cette once amère d’incompréhension. Comme toujours c’était Siobhan qui avait ouvert un jeu biaisé et dont elle sortait toujours vainqueur.

« Richard se demande pourquoi tu ne le rappelles pas.
— Pourquoi le ferais je ?

— Parce que ce serait pour une fois faire preuve d’intelligence et …
— Charmant, vraiment.»


Les mots qui se faisaient plus laconiques que réellement lapidaires. Comme épuisés d’avoir été trop rabâchés par ces lèvres qui, d’un côté comme de l’autre, se plissaient en une moue résignée.

« Je ne te comprends pas ! Pourquoi refuser une telle opportunité ? Tu gagnerais bien mieux ta vie qu’en allant torcher les fesses des mioches de cette pimbêche de Saada !»

Tamsin ne laissa pas la plus petite expression affleurer à son visage bien trop consciente que sa jumelle n’attendait probablement que cela. Ravalant de justesse un soupir d’agacement, elle avait attrapé le paquet de belles empoisonnées.

« Arthur et Andrea sont adorables et cela te surprendra assurément mais il m’arrive de trouver leur compagnie plus intéressante et plus enrichissante que bien d’autres.

— Devrais-je me sentir visée et m’offusquer ?  
— Depuis quand as-tu besoin d’une raison pour cela ?

— Fais attention petite soeur tu as des dents de lait qui poussent bientôt tu pourras mordre un marshmallow dis moi.»

Dans ces circonstances répondre était la pire des idées et Tamsin le savait. Mais ça la démangeait. Si fort ! Mais à quoi bon user son temps et sa salive auprès de ilE qui celle qui s’en fichait éperdument ? Et Siobhan revenait déjà à la charge, babillant toutes ces amabilités dont elle était vraisemblablement la spécialiste. Elle parlait. Encore. Et encore. Si bien que sa cadette se demandait quand et comment elle faisait pour reprendre son souffle. Quelle question ! Les gens aussi parfaits n’ont sans doutes même pas besoin de reprendre leur souffle après tout…

« J’ai besoin d’argent. »

Nous y voilà… Tamsin se demandait pour quelle nébuleuse raison sa sœur lui avait demandé de passer. Pour suer à sa place était une raison. Mais la véritable était celle ci : elle s’était encore fourrée dans les ennuis. Et à voir la façon dont sa voix avait vibré, tremblé même, les choses devaient être grave cette fois.

« Combien ?

— Deux fois ?
— Deux fois quoi ?

— Ce que je t’avais déjà emprunté la dernière fois ?
— Sio ! Mais où veux-tu que je trouve une somme pareille ?!»


Tamsin s’était levée si brusquement que sa chaise en était tombée à la renverse. Ses mains qui passaient à ses cheveux avec une nervosité non feinte. Elle savait ce qui arriverait si sa sœur ne payait pas ses créanciers peu recommandables à temps. Et aussi fort sa jumelle pouvait-elle l’agacer jamais elle ne lui souhaiterait pareille chose. Elle continuait d’arpenter le sol du salon quand sa sœur reprit

« Je peux demander à Papa si tu préfères ?
— Je t’interdis depuis l’ennuyer avec tout ça ! Tu m’entends ? Je te l’interdis !

— Alors aide-moi !
— Et je fais comment ?! J’ai tout juste de quoi boucler le mois ! Entre les loyer, les charges et les cours c’est à peine si j’ai de quoi m’acheter des pâtes !

— Demande une avance à ton patron ?»

La jeune femme s’était immobilisée avant que de darder de ses foudres son aînée. Hors de question !

« Allez ! Sérieux petite sœur ! Je suis sûre que si tu battais des cils en remuant tes jolies fesses sous son nez au doc il te prêterait tout l’argent que tu voudrais !
— Tu m’as prise pour qui ? Pire : pour qui prends-tu Julian ?!

— Julian hein ?!
— Oh la ferme !»


Tamsin s’était éloignée, refusant de laisser sa sœur souiller de sa méchanceté ce qui était beau. Ce qui lui était cher aussi. Non, jamais elle n’emprunterait le moindre cent à ses employeurs. Et encore moins à son père.

« Tam… Je te jure que c’est la dernière fois…»

Elle était sûrement sincère. Elle l’était toujours. Mais ses promesses ne duraient jamais que le temps d’un ennui. Et telle la cigale Siobhan retournait toujours danser.

« Laisse moi trois jours.

— Pas plus hein ! Tu vas pas me laisser tomber hein sœurette ?»

Elle avait l’air si vulnérable dans ces instants là ! Et pendant le temps d’une seconde Tamsin avait eu la sensation de réellement retrouver sa sœur. Celle avec qui elle partageait tout. Celle qui la serrait dans ses bras comme elle le faisait en cet instant.

« Je t’aime Tamsin.
— Je t’aime Siobhan.»


Et c’était vrai. Même si, la jeune femme s’en amusait parfois avec une pointe cruelle d’ironie : cela la tuerait probablement un jour.
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@ Tamsin Roy

Tamsin Roy
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Jeu 1 Juin 2023 - 0:48


i am so sorry
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Jeudi 1er juin 2023,


Ce matin le ciel avait été d’un bleu si profond que Tamsin se souvenait en avoir ri alors qu’elle sirotait tranquillement son café. Julian était déjà parti à l’hôpital et d’ici quelques minutes elle partirait déposer les enfants chez sa nourrice pour Andrea et à l’école pour son aîné. Pas un seul nuage dans le ciel ? Au moins cela permettrait au petit prince de profiter du carnaval organisé par sa maîtresse. Chacun devait venir costumé et apporter un gâteau. Le petit garçon avait insisté pour se déguiser comme le lion qui se pensait peureux  dans Dorothy et le Magicien d’Oz. Cela avait pris près de quinze jours à la baby-sitter, pas mal de jurons et de doigts piqués au sang mais elle était finalement à lui confectionner le plus parfait des déguisements. Si sa mère ne lui avait pas expressément ordonner de l’ôter pour dormir Tamsin était certaine que le petit garçon se serait roulé sous la couette dedans et, elle, l’aurait trouvé ce matin avec tout juste les oreilles et la queue en pinceau dépassant. Mais Arthur avait, comme toujours, été le plus adorable des petits garçons et avait attendu ce matin pour enfiler son costume. Un bisou à maman, un petit déjeuner pris avec papa et toutes les histoires de sa vie d’enfant confiées sur le ton du secret à celle qui ne lâcha sa main qu’une fois qu’elle fut certaine qu’il était bien en sûreté auprès de ses petits camarades de classe.

Un café pris au Sweet Coffee, deux livres récupérés chez son libraire préféré et la voilà qui reprenait sa voiture pour rejoindre les bancs de l’université. Ce matin elle n’avait qu’un seul cours magistral et ensuite elle pourrait aller bosser son scénario tranquillement. Tamsin se sentait nerveuse. Ce n’était pourtant pas son ballon d’essai ! Qui plus est ses enseignants comme ses camarades ou à peu près toutes les personnes à qui elle en avait parlé s’étaient montrés des plus enthousiastes : elle devait se lancer. Et pour une fois aller au bout de son projet et oser présenter son œuvre au concours que tous les aspirants scénaristes comme elle ambitionnaient un jour de gagner. Celui qui propulsait l’heureux élu au cœur même de Hollywood où son œuvre prenait comme par magie vie. Elle pouvait gagner ! Elle aurait déjà pu l’emporter l’année précédente… si elle ne s’était pas retirée de la compétition au tout dernier moment.

« Pourquoi faut-il toujours que tu m’appelles quand il ne faut pas hein frangine ?»


Un juron qu’elle retint de justesse tandis qu’elle prenait le temps de ralentir pour mieux rejeter l’appel. A peine avait-elle reporté son attention sur la route que Siri annonçait un autre appel entrant. Sa sœur une fois de plus. L’étudiante connaissait bien assez son aînée pour savoir qu’elle insisterait encore et encore jusqu’à avoir eu ce qu’elle attendait. Autant lui répondre pour s’en débarrasser une bonne fois pour toutes. Quoiqu’elle désire cette fois Tamsin était fermement décidée à lui afficher une fin de non recevoir. Ferme et définitive.

« Je suis en voiture Sio. Je te rappelle dès que j’arrive…»


Mais la fin de la phrase se perdit dans ces sanglots étouffés qui s’élevèrent alors dans l’habitacle. Sa sœur pleurait. Elle sanglotait même tant et tant que ce qui s’écoulait de ses lèvres étaient plus proches du borborygme que d’un quelconque mot du dictionnaire humain. Fronçant les sourcils, jetant un œil dans ce rétroviseur où elle ne vit qu’un véhicule Tamsin avait mis son clignotant et manœuvré  pour s’arrêter sur le bas côté de la route. Un coup d’œil encore au rétroviseur et les prunelles qui fixaient la silhouette de l’Aston Martin alors qu’elle disparaissait par-delà sa ligne d’horizon. Le poids de sa montre à son poignet et le regard qui vint un seconde s’y attarder : elle allait être en retard… Génial !

« J’suis… J’suis désolée Tam-tam… J’suis désolée…»

Sa sœur qui s’excusait par deux fois et usait d’un surnom datant de l’époque où elles étaient inséparables ? La situation devait être grave. Vraiment très grave même !

« Shhhh… Calme toi. Ça va aller»  


Elle tenta de rassurer Siobhan de sa voix la plus douce et tandis que ses doigts s’en allaient fouiller dans les profondeurs de son sac à la recherche de son paquet de Camel. Ah ! Les voilà les coquines ! Le plastique qu’elle déchirait d’un geste si nerveux qu’elle s’en étonna une seconde. Son aînée était une habituée des mélodrames ! Ce n’en était sûrement qu’un de plus. Non ?

« Raconte moi. Il s’est passé quoi cette fois ?

— J’suis désolée Tam-tam… J’voulais pas… J’te jure j’avais pas prévu…»

Les y voilà une fois de plus : à cet instant où l’aînée avouait en larmoyant une faute commise tout en implorant sa cadette de la réparer. Comme la dernière fois.

« Je te préviens Sio si c’est encore pour me taxer de l’argent j’en ai plus du tout. Je t’ai donné jusqu’à ma bourse de ce trimestre ne me dis pas que tes créanciers en veulent encore plus !»


Un silence qui fit froncer les sourcils à la jeune femme. Tandis que la flamme de son briquet venait lécher le bout de sa Belle empoisonnée. Chez Siobhan il y avait ce que les mots confessaient toujours à moitié et il y avait tout le reste que ses silences, pesants, laissaient présager. Et, en l’occurrence, ce silence là commençait à réellement traîner en longueur.

« Je… Je les ai pas remboursés…
— Pardon ?!

— T’énerve pas ! S’il… te … plaît ! T’énerve pas !»

Facile à dire tiens ! L’intéressée avait tiré un peu plus fort sur sa cigarette déjà à moitié consumée et les ongles de sa main encore libre griffaient le cuir du volant. La même question tourbillonnant encore et encore dans sa tête : qu’avait elle fait de l’argent ?  

« Sio… Promis je ne vais pas m’énerver mais il faut qu’on parle toi et moi.

— Tam-tam… Tu … T’es où ?
— En route pour la fac je te l’ai dit tu as déjà…»


Un sanglot et l’écho de sa sœur en train de renifler. Elle ne pouvait pas se moucher ? La tête de la jeune femme qui se renversait jusqu’à venir buter sur l’appui tête. Qu’avait bien pu faire sa sœur pour avoir aussi peur ? La cendre d’une cigarette déjà finie qui lui brûla le derme et la fit se redresser brusquement. Elle écrasait le mégot dans le cendrier quand son œil fut attiré par une silhouette de berline apparaissant dans son rétroviseur. Encore une Aston ? Elle s’amusa à se penser entourer de bourgeois amoureux de très belles lignes et mécaniques quand les mots de sa sœur vinrent tintinnabuler à ses oreille.

« Je leur ai dit que c’était toi.
— Quoi ?!

— Je leur ai dit que c’était toi qui avait l’argent.
— Mais qu’est ce qui ne tourne pas rond chez toi à la fin ?!

— T’avais promis de ne pas t’énerver !
— Comme tu avais promis d’arrêter tes conneries non ?!»


S’il n’avait rien de réellement agressif le ton n’avait plus rien de tendre non plus. Tamsin était lassée des bêtises incommensurables de sa sœur. Cette fois c’en était trop ! Pour elle; pour l’aider, elle avait sacrifié toute une partie de sa bourse se condamnant à des économies drastiques si elle voulait finir l’année sans faire la manche dans les rues d’Oxford. Elle l’avait fait parce que quoiqu’il arrive elle aimait Siobhan et que toutes les deux n’étaient jamais que les deux faces d’une même médaille. Si l’univers avait été autre peut-être aurait-elle été celle qui aurait hérité du rôle de la paumée. Alors, non, même en cet instant la jeune femme ne regrettait pas sa générosité.

« J’suis désolée Tam-tam ! J’suis tellement désolée ! Si tu savais à quel point je regrette !»

Ce furent les derniers mots qu’entendît Tamsin juste avant qu’elle ne se sente, au sens propre du terme, basculer. Le choc avait été si violent qu’elle n’eut en un sens pas même le temps de réaliser ce qui lui arrivait. Sa tête qui heurtait le pare-brise avant que de le traverser. Le picotement des myriades d’étoiles tranchantes qui venaient entailler sa peau, faire couleur son sang. Et le craquement de ses os. Pas même le temps de réaliser ou de se poser la plus petite question ou de voir la plus petite lueur au fond d’un quelconque tunnel. Elle avait toujours su que c’était de la foutaise ces histoires. Ah si ! Elle voyait de la lumière. Ah non… C’était le noir qui dévorait tout. Tamsin n’avait plus même la force de lutter et, lentement, elle se laissa glisser dans le noir.

Au loin, les lumières d’une ambulance vacillaient. Un témoin avait assisté à la scène et prévue les secours, évitant sûrement le pire à la jeune femme plus guère consciente. La dernière pensée qu’elle eut fut pour lui. Lui qui, au même instant et à l’hôpital, apprenait qu’un grave accident de la route avait eu lieu et qu on leur amenait une blessée.

Ce que le docteur Julian Bell ignorait alors c’était qu’il connaissait très bien la victime.
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